Quand l'Honneur est défié par la cupidité...
Au milieu de ma nuit blanche, j'ai orienté la lucarne virtuelle de l'ordinateur vers les berges du Dniepr, tentant de repérer l'ombre de la réalité à travers la vérité dogmatique assénée par les "forces d'occupation mentale" occupant les rédactions occidentales.
"Plus le mensonge est gros, plus il passe.
Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit ..."
Cette affirmation de Joseph Goebbels se confirme un peu plus chaque jour, et depuis deux semaines, il semblerait que nos dirigeants n'aient pas oublié la leçon cynique mais réaliste du maître de la propagande du IIIème Reich ....
En effet, depuis quelques jours, les commentaires vont bon train pour décrire le prétendu "coup de force" inadmissible de Vladimir Poutine en Crimée, et en réinventant l'histoire de la région et des événements même les plus récents, le Nouvel Ordre Mondial cherche a nous imposer une amnésie sélective et une des crises les plus importantes vécues depuis plus d'un demi siècle par l'Europe...
UNE POLITIQUE MENSONGÈRE
Car les mots ici ne sont que des maux travestissant la réalité...
Ainsi des manifestants du Maiden, casqués, armés et lançant des cocktails molotov, mais qualifiés de "pacifistes", et des unités militaires disciplinées, sécurisant pacifiquement les populations russophones menacées mais décrites comme "force d'invasion" agressant un pays souverain.
Et on nous ressert à nouveau le même plat irakien, libyen ou syrien d'une vision manichéenne version hollywoodienne, où s'affronteraient le Bien et le Mal qui s'avèrent lorsque les masques tombent, définis dogmatiquement à l'aune d'intérêts financiers inavoués...
Et surtout on continue à vouloir nous prendre pour des cons...
Ce matin Vladimir Poutine a donné une conférence de presse pour exprimer sa position, offrant à notre compréhension enfin une autre vision du monde, différente et permettant une analyse contradictoire...
L'argumentaire du maître du Kremlin, serait tout aussi légitime que celui de pays de l'Europe de l'Ouest si ce dernier n'obéissait servilement qu'à des considérations économiques. Or Vladimir Poutine a rappelé ici des principes qui sont attachés à des valeurs que tout gouvernement digne de ce nom doit respecter et défendre :
- La non ingérence dans les affaires d'un Etat souverain sous quelque forme que ce soit.
- Le respect de la constitution d'un régime et du processus électoral existant.
- La protection de l''intégrité physique du territoire, des citoyens et des biens nationaux.
"TOUTE DÉCISION D'EMPLOYER DES FORCES ARMÉES EN UKRAINE SERA LÉGITIME"
Ces règles, si Poutine ne les considérait pas supérieures à ses opinions personnelles, il est probable qu'il serait intervenu dès le début de la crise pour réparer les erreurs du président ukrainien. Or, il a respecté les décisions, bien que lamentables, du médiocre Ianoukovitch, principal responsable de la crise. Ce n'est pas le cas du politburo de la CEE (UE) qui, toute honte bue, a multiplié les interventions pour soutenir et encourager un mouvement extrémiste et radical cherchant a renverser par la force, un gouvernement démocratiquement élu.
Et nos banksters de sonner la charge "droit-de-l'hommiste"quand, après plusieurs dizaines de morts et de blessés parmi ses rangs, les forces de sécurité ont légitimement et proportionnellement riposté.... Il est connu que souvent les pyromanes sont les premiers à crier "au feu" pour enfumer l'opinion.
La vision géopolitique occidentale, réduite à des intérêts bassement économiques, oblige les gouvernements, pris à la gorge par la crise systémique, a trahir dans une fuite en avant de plus en plus risquée, les principes mêmes de la diplomatie internationale....et de la démocratie qu'ils sont censés représenter.
Car,en Ukraine, Victor Ianoukovitch en est toujours le président, certes médiocre, car élu démocratiquement; et, jusqu'aux prochaines élections, toute forme de renversement est par définition anticonstitutionnelle.
En France le président François Hollande, dont la médiocrité est loin d'atteindre les sommets de la "normalité" qu'il revendique, a reconnu stupidement comme ses colistiers européens, la légitimité des quelques dizaines de milliers de manifestants rassemblés place du Maidan.
Si je n'étais pas attaché par dessus tout à des principes républicains, je l'applaudirai et l'encouragerai à appliquer cette idée ici même en France, ou sa légitimité populaire n'a duré que le temps de remiser les urnes... Mais, refusant par principe le désordre, je me contente donc (pour le moment), en écoutant ses discours pitoyables, de confirmer auprès du regretté Michel Audiard, qu'effectivement, "les cons ça osent tout, et c'est même à cela qu'on les reconnaît" !
"Les tontons flingueurs" (Lautner-Audiard)
avec L.Ventura & F.Blanche
Revenons en Ukraine...
LA FUITE EN AVANT POUR EVITER L'EFFONDREMENT
Car depuis le début de la crise ukrainienne, c'est justement "le grisbi" qui commande. C'est effectivement le rejet (légal) par le gouvernement élu d'une proposition d'accord économique avec la CEE (UE) au profit de la Russie, qui met le feu au poudre dans les provinces de l'Ouest du pays déçues car culturellement plus proche des pays occidentaux qui avaient misé beaucoup dans cette extension de leur empire économique.
Or, toute déclinaison du système libéral subordonné à ses intérêts, de la micro entreprise à la multinationale, est condamnée à rechercher en permanence une croissance illimitée, faute de quoi elle meurt rapidement. Cette logique infernale, qui de plus et par essence, ne peut être réformée, conduit les pays occidentaux liés par ce destin économique commun, a mener une politique internationale optant pour un "quitte ou double" dangereux.
D'où le soutien opportuniste des occidentaux réalisé auprès des opposants au régime, jusqu'à un encouragement à une radicalisation violente de la dissidence (voir à ce propos les discours pyromanes de BHL ou de Fabius)
Mais, si elle répond à une logique économique vitale pour le nouveau système esclavagiste libéral, cette politique du va-t-en guerre, s'avère en revanche d'une incohérence totale et même suicidaire sur le plan de la déontologie politique.
Le système libéral n'a par définition qu'une vision économique du Monde, soumettant les libertés des peuples à des intérêts qui leurs sont étrangers. Or n'en déplaise aux banquiers, la géopolitique est d'abord fondée sur l'Histoire, les Civilisations, la Géographie, et non sur l'Economie qui d'ailleurs n'en est qu'un sous-produit.
Les libéraux sont engagés depuis la fin du communisme soviétique (1989) dans une conquête plus économique qu'idéologique, mais utilisant toujours la guerre comme moyen de pression ou de soumission. Mais cette guerre économique, qui est vitale pour l'existence des financiers, a cependant besoin d'une essence idéologique supérieure pour que des hommes sur le terrain, consentent au sacrifice suprême.
UNE IDÉOLOGIE MANICHÉENNE SUICIDAIRE
C'est là qu'intervient la propagande médiatique véhiculant les fantasmes idéologiques de la démocratie et des droits de l'homme, et qui manipulent les foules pour, "in fine" servir leurs contraires !
Et cette guerre économique dangereuse, devient suicidaire lorsque ce cheval de Troie idéologique, procède d'un manichéisme conquérant qui brûle alors les vaisseaux de la diplomatie. La guerre en Syrie à ce titre, en est une parfaite illustration, car la diabolisation dogmatique de Bachar el Assad, n'autorise plus une quelconque négociation sans que les diplomaties occidentales n'y perdent la face. Il a fallu en 2013, "in extremis", l'intervention magistrale de Vladimir Poutine resté en dehors de cette vision bipolaire, pour éviter une généralisation du conflit, dont les prétextes invoqués (attaques chimiques du régime) se sont révélés par la suite très suspects pour ne pas dire mensongers.
Dans son hégémonie le Nouvel Ordre Mondial, rongeant le monde et l'humanité s'essouffle et se casse cependant des dents sur des os qui refusent de satisfaire son appétit insatiable. De plus en plus, des peuples refusent l'asservissement au mondialisme, préférant un bonheur fondé sur une tradition et une identité partagées, plutôt que sur un progrès et un consumérisme individualisés.
Et le système libéral sentant son miroir aux alouettes devenir de moins en moins brillant s'empresse de l'agiter à tout-va, allumant des incendies sans même pouvoir maîtriser leur conséquences souvent dramatiques pour les populations, comme en Irak, en Libye ou en Syrie par exemple.
Et le système libéral sentant son miroir aux alouettes devenir de moins en moins brillant s'empresse de l'agiter à tout-va, allumant des incendies sans même pouvoir maîtriser leur conséquences souvent dramatiques pour les populations, comme en Irak, en Libye ou en Syrie par exemple.
DES NATIONALISTES MANIPULÉS AVANT D’ÊTRE SACRIFIÉS...
Dans le scénario ukrainien, les occidentaux qui nous ont déjà montré une incohérence éthique hallucinante à l'égard des djihadistes libyens, maliens ou syriens ne sont pas plus gênés ici pour jouer de paradoxes idéologiques ou de contre-sens historiques.
Appliquant le machiavélique adage, "l'ennemi de mon ennemi est mon ami", le Nouvel Ordre Mondial, organise la stratégie du "Divide ut regnes" pour déstabiliser les résistances qui s'opposent à son totalitarisme. Et tous les moyens sont bons.
Ainsi, ces derniers mois, les occidentaux utilisent l'histoire tragique de l'Ukraine soviétique et la gestion lamentable des derniers gouvernements pro-russes, pour manipuler les nationalistes, humainement cristallisés dans les souvenirs terrifiants de la répression bolchevique (plus de 12 millions de victimes entre l'Holodomor et la guerre mondiale)
Surfant ainsi sur un sentiment anti russe logique d'une partie de la population, les américains et leurs vassaux n'ont aucun mal à diaboliser le pouvoir du Kremlin si mal servi par le dernier gouvernement ukrainien...
La famine planifiée (holodomor) génocide subi entre 1931 et 1933
Ainsi a t-on vu au premier rang de la révolte, s'exposant avec courage dans les combats de rue au coeur de Kiev, les jeunes nationalistes ukrainiens, supplétifs hallucinants d'un libéralisme étasunien, ressortir sur les barricades en feu les symboles nazis de l'ancien combat anti bolchevique.
Dans cette logique manipulatrice, le nouveau gouvernement d'Arseni Iatseniouk, instable et menacé n'a pas hésité fin février, a offrir plusieurs sièges importants au parti national-socialiste ukrainien, au parti radical Svoboda, au milices nationalistess d'autodéfense ou aux groupe ultra Pravyi Sektor par exemple. Les valeurs défendues par ces dissidents nationalistes, sont infiniment plus radicales que celles d'un Front National, pourtant sévèrement ostracisé par la bien-pensance bruxelloise et française.
Il est donc fort à parier que, dans l’hypothèse d'une stabilisation politique au profit de l'opposition pro UE, et dès que la menace d'une guerre civile sera définitivement éloignée, ces extrémistes incompatibles avec leurs nouveaux maîtres, seront invités a retrouver le chemin de la dissidence (ou de la prison), alors semé par les fleurs de leur amertume.
Et c'est malheureusement le rêve immortel de l'Europe authentique qui risque à nouveau de faire les frais de l'Histoire...
UN OS EN TRAVERS DE LA GORGE
Vladimir Poutine est un chef d'Etat responsable, qui assume l'importance de l'économie dans la gestion politique du pays qu'on lui a confié. Mais il ne s'y soumet pas. C'est aussi et surtout un officier accompli (les énarques ventripotents de nos palais semblent l'oublier) et qui est au commande, non pour se servir mais pour servir sa patrie et les valeurs qui ont fondé son identité civilisationnelle.
Les européens quant à eux , ils sont à l'image de cette Ukraine écartelée entre deux puissances, ils leur faut retrouver une véritable souveraineté territoriale, refusant toute forme d'allégeance politique ou économique... mais qui doit passer par une reconnaissance de l'affirmation de la puissance continentale eurasienne. Car ne nous leurrons pas la libération puis la restauration de l'Europe ne se fera qu'en harmonie avec celle de l'empire russe qui est embarqué sur le même continent que nous..
Les européens quant à eux , ils sont à l'image de cette Ukraine écartelée entre deux puissances, ils leur faut retrouver une véritable souveraineté territoriale, refusant toute forme d'allégeance politique ou économique... mais qui doit passer par une reconnaissance de l'affirmation de la puissance continentale eurasienne. Car ne nous leurrons pas la libération puis la restauration de l'Europe ne se fera qu'en harmonie avec celle de l'empire russe qui est embarqué sur le même continent que nous..
En attendant, les "pyromanes de salon" américains, en voulant porter le feu aux portes du sanctuaire slave, risquent fort de se brûler eux-même, car contrairement à l'aigle, au lion ou au coq, l'ours européen ici, préfère sa liberté à son ventre... et il a des griffes !
Erwan Castel, Cayenne le 4 mars 2014
Vladimir Poutine sur l’Ukraine:
conférence de presse du 4 mars 2014.
(TRADUCTION AUTOMATIQUE)
VLADIMIR POUTINE: Bonjour, mesdames et messieurs!
Vous savez, que nous procédons? I, en tout cas, je me propose de le faire. Tenir notre réunion d’aujourd’hui n’est pas une interview, mais comme une conversation. Par conséquent pourrait vous demander de noter que beaucoup de questions, je vais les marquer, je vais essayer, autant que je peux y répondre, puis nous en discuterons plus en détail déjà, dans le détail, pour les nuances que peut-être vous êtes intéressé en particulier.
S’il vous plaît.
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, je voudrais poser une question (que vous faites une pause assez longue pour tenir, nous avons accumulé beaucoup de questions), comment évaluez-vous ce qui est arrivé à Kiev? Pensez-vous que la légitimité du gouvernement et le président par intérim, qui est maintenant à Kiev? Sont, et à quelles conditions, de maintenir le contact avec eux? Et pensez-vous que vous pouvez vous retrouver, revenir à des contrats le 21 Février, qui nous sommes maintenant souvent désigné? Merci.
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, la Russie a promis une aide financière Crimée hier a chargé le ministère des Finances. Avez-vous déjà une compréhension de ce que nous donnons, à partir de quelles sources, dans quelles conditions et quand cette aide sera accordée? La situation y est assez lourd.
QUESTION: Quand, dans quelles conditions et dans quelle mesure on peut utiliser la force militaire en Ukraine? Dans la mesure compatible avec les accords internationaux avec la Russie? Faire quelque chose à voir avec les enseignements qui ont été tout récemment, la possibilité d’utiliser la force militaire?
QUESTION: A propos de Crimée aimerait savoir. À votre avis, y at-il encore enregistré aucune provocation ou menace pour les citoyens russes, qui sont maintenant en Crimée, et la population russophone? Dans la dynamique générale il pour le meilleur ou pour le pire est en développement? Parce que les nouvelles en provenance de complètement différent.
QUESTION: Si vous décidez tout de même d’envoyer des troupes, si vous avez compris vous-même, pour le pays, pour le monde des risques possibles, tels que: les sanctions économiques, la détérioration de la sécurité mondiale, possible interdiction de visa ou un isolement plus large de la Russie peut ce sont des appels entre les politiciens occidentaux?
Merci.
QUESTION: A la veille des marchés russes chuter réagi à la décision du Conseil de la Fédération, le rouble a mis à jour des niveaux historiquement bas. Vous attendiez-vous une telle réaction? Quelles sont les conséquences voyez-vous pour l’économie? Ai-je besoin des mesures supplémentaires à prendre et maintenant? Et, par exemple, vous ne pensez pas que la décision de la Banque centrale de la transition pour libérer rouble flottant était prématuré? Vous devrez peut-être inverser temporairement cette décision? Que pensez-vous?
Merci.
Tout d’abord, l’évaluation de ce qui s’est passé à Kiev, en Ukraine, en général. L’évaluation peut être un seul – c’est coup inconstitutionnel et saisie armé du pouvoir. Avec cela, personne ne conteste. Qui peut prétendre? La question pour moi est, à laquelle ni je ne peux pas répondre à un de mes collègues, avec qui, comme vous le savez, j’ai beaucoup discuté récemment de la question de l’Ukraine sur le téléphone. La question est: pourquoi est-il fait?
Faites attention, parce que le président Ianoukovitch médiée par les trois ministres des Affaires étrangères des pays européens – la Pologne, l’Allemagne et la France – en présence de mon représentant (à ce titre, le Médiateur fait, le Commissaire aux droits de l’homme dans la Fédération de Russie Vladimir Loukine) signé entre l’opposition et le gouvernement de l’époque 21, alors il est un accord par lequel je veux insister sur ce (bon ou mauvais, je veux simplement souligner un fait), M. Ianoukovitch a pratiquement renoncé à son autorité. Il a accepté de toute opposition a exigé qu’il est convenu d’élections législatives anticipées, les premières élections du Président, a accepté de revenir à la Constitution de 2004, qui exigeait l’opposition. Il a répondu favorablement à notre demande et, sur la demande des pays occidentaux, en particulier leur opposition, de ne pas recourir à la force. Après tout, il n’a pas donné un ordre illégal en tirant sur des manifestants mécontents. Il, en outre, demandé à la police de retirer toutes les forces de la capitale, et ils suivirent ses ordres. Il est allé à l’événement à Kharkiv, dès qu’il est allé à Kharkov, plutôt que de libérer les immeubles de bureaux occupés précédemment, et a immédiatement pris sa résidence présidentielle, bâtiment du gouvernement et la place effectuer ce convenu.
Après avoir posé la question: Pourquoi? Je veux comprendre pourquoi cela se fait? Et il passa, en fait, tout le pouvoir, et il a, je crois, et je lui ai dit à ce sujet disant qu’il n’y avait aucune chance pour une réélection. Et tous sont d’accord, tous mes collègues avec qui j’ai parlé ces derniers jours sur le téléphone. Pourquoi était-il nécessaire de s’engager dans des actions illégales et inconstitutionnelles pour entrer dans le pays pour entraîner le pays dans le chaos dans lequel il était aujourd’hui? Jusqu’à présent, après avoir erré autour de Kiev, des hommes masqués dans les bras. Que cette question est tout simplement pas de réponse. Quelqu’un voulait humilier, montrer votre force? C’est, à mon avis, les actions absolument stupides. Vous avez, il me semble être contre-productif, parce que c’est de ces actions est largement basculé et le sud-est de l’Ukraine.
Maintenant pourquoi cette situation est apparue à tous.
À mon avis, cette situation révolutionnaire existait depuis longtemps, depuis les premiers jours de l’indépendance de l’Ukraine. Simple citoyen ukrainien ukrainien homme simple, il a souffert sous Nicolas le sanglant, et Kravtchouk et Koutchma et Iouchtchenko et Ianoukovitch. Rien pour le mieux, ou presque rien n’a changé. La corruption a atteint un tel point que nous n’avons jamais rêvé d’ici, en Russie. L’enrichissement et la stratification de la société, et nous ces problèmes abondent, et nous avons les porter très aiguë, et en Ukraine est encore plus aiguë, pire encore, en cubes et carré. Vous voyez, il est tout simplement scandaleux valeur. En principe, les gens, bien sûr, voulaient un changement, mais pas d’encourager le changement illégal.
L’ex-Union soviétique, où la structure politique même très fragile, une économie très faible, nous devons agir uniquement d’une manière constitutionnelle. Cardinal erreur va toujours au-delà du cadre constitutionnel. Je comprends, par ailleurs, les personnes sur le Maidan, mais pas se félicitent du fait du changement de pouvoir dans une telle façon, je comprends, cependant, les gens sur le Maidan, qui ne nécessite toujours pas une sorte de réparation de la façade de la puissance, et nécessite des changements dramatiques. Pourquoi ont-ils besoin? Parce qu’ils se sont habitués à un certain changement dans les autres escrocs des escrocs et des canailles. De plus, les gens dans les régions ne prennent même pas participer à l’élaboration de leurs autorités régionales. Nous avons eu une période où nous avons mis au pouvoir par les dirigeants de la région que le Président leur offrait, mais le conseil municipal au moins ils réclamé, et il y a juste une nomination directe. Nous en sommes maintenant à l’élection, et là, il n’a pas d’odeur. Et dans les régions de l’Est ont commencé à nommer les gouverneurs, les oligarques milliardaires. Bien sûr, les gens n’acceptent pas cela, bien sûr, ils croient que, par suite de la privatisation injuste, en fait, tout comme nous croyons beaucoup de gens sont riches, et maintenant ils sont toujours au pouvoir et traînés.
En Dniepropetrovsk, M. Kolomoisky porté au pouvoir en tant que gouverneur. Mais c’est juste un voyou unique. Il a même notre oligarque Abramovich a triché, il ya deux ou trois ans. Comme nous le disons dans les cercles de l’intelligentsia éduquée, « jeté ». Conclu un contrat, il ya une certaine affaire, Abramovich a déplacé plusieurs milliards de dollars, et il n’a pas fini de l’affaire, a empoché l’argent. Quand je lui ai demandé: « Ecoute, pourquoi faites-vous cela? » Il dit, « je n’avais pas eu lieu, c’est possible. » Je ne sais pas la manière dont il a fini, s’il a obtenu son argent, a porté cette affaire, je ne sais pas. Mais quelque part, il ya deux ou trois ans en raison de la situation réelle dans la vie s’est développée. Donc, assurez-gouverneur de cette canaille envoyé à Dnepropetrovsk. Bien sûr, les gens sont malheureux. Étaient mécontents, mais restent insatisfaits, si ceux qui se disent l’autorité légale d’agir de cette façon.
Et le plus important, il est nécessaire de donner aux gens le droit de déterminer leur destin et celui de leurs familles, le sort de leur région et de participer sur un pied d’égalité, donc je tiens à souligner ceci: peu importe où les gens vivaient, dans n’importe quelle région du pays, il devrait être mis sur un pied d’égalité à participer à déterminer le sort de leur pays.
S’agit gouvernement légitime aujourd’hui? Parlement – en partie oui tout le reste – non, absolument et ne peut certainement pas être dit à propos de la légitimité du Président par intérim, il n’y a tout simplement aucune légitimité. Il n’ya qu’un seul président légitime juridiquement. Il est clair qu’il n’a pas le pouvoir, bien sûr. Mais je l’ai déjà dit, je tiens à répéter ce un président légitime purement légalement, bien sûr, est que M. Ianoukovitch.
Il y a trois façons conformément à la loi du Président de l’Ukraine éviction du pouvoir: la mort, la deuxième voie – c’est sa déclaration personnelle la puissance et la troisième renoncer – la mise en accusation. La mise en accusation est inscrit, il est une norme constitutionnelle. Cela devrait impliquer la Cour constitutionnelle, la Cour suprême, le Parlement lui-même. Il s’agit d’une procédure fastidieuse difficile. Cette procédure n’a pas été menée. Par conséquent, d’un point de vue juridique, il est un fait incontestable.
En outre, je pense que, peut-être, c’est pourquoi les soi-disant autorités actuelles ont décidé de disperser la Cour constitutionnelle, qui ne cadrait pas dans n’importe quel cadre législatif de l’Ukraine elle-même, ni dans le cadre législatif en Europe. Et pas seulement rompu la manière illégale de la cour, et même – attendre encore dans le mot – ont chargé le procureur général à engager des poursuites pénales contre des membres de la Cour constitutionnelle. Qu’est-ce que c’est? Cette justice libre appelé? Comment cela peut-être – donner des instructions pour engager des poursuites pénales? Si il ya une infraction, infraction pénale, les organismes d’application de la loi eux-mêmes et se voient doit répondre. Mais donner à la commission d’engager des procédures pénales – c’est absurde, c’est «charabia».
Maintenant aide financière Crimée. Vous savez, nous avons décidé d’organiser le travail des régions de la Fédération de Russie à fournir une assistance appropriée à la Crimée, qui fait appel à nous pour l’aide humanitaire. Et bien sûr, nous le ferons. Combien, quand, quelles sont les sources – Je ne peux pas dire que le gouvernement est engagé. En combinant les régions frontalières et la Crimée, peut-être fournir un appui supplémentaire à notre région, afin qu’ils puissent soutenir Crimée. Nous faisons cela, bien sûr.
Lors de l’introduction de troupes, utiliser des troupes. Bien que cela n’est pas nécessaire. Mais il existe une telle possibilité. Par ailleurs, une fois que je peux vous dire que nos enseignements, qui ont eu lieu récemment, ils ne sont pas liés à des événements en Ukraine. L’événement a été planifié par nous plus tôt, mais n’a pas été annoncé, bien sûr, parce que la vérification de l’état de préparation soudaine des unités militaires concernées. Il était prévu depuis longtemps, ministre de la Défense j’avais longtemps été signalé, et j’ai déjà été récoltés afin de directive pour qu’il puisse commencer une telle doctrine. Comme vous le savez, l’enseignement est terminé, et hier, j’ai ordonné à toutes les unités militaires de retourner dans leurs lieux de dislocation permanente.
Que pourrait servir de prétexte pour les forces armées? Ceci, bien sûr, un cas extrême, tout extrême.
Tout d’abord, à propos de la légitimité. Comme vous le savez, nous avons un appel direct du courant et légitime, comme je le disais, le président ukrainien Viktor Ianoukovitch sur l’utilisation des forces armées pour la protection de la vie, la liberté et la santé des citoyens de l’Ukraine.
Ce qui nous inquiète le plus? Nous voyons néo-nationalistes effréné, antisémites, qui se passe dans certaines régions de l’Ukraine, y compris Kiev. Que dites-vous, les médias sont considérés à coup sûr, l’un des gouverneurs actuels chaînes, menottes enchaînés à la place il y a quelques structures, en hiver, dans le froid, versé de l’eau. Après cela, d’ailleurs, a été emprisonné dans son sous-sol et il est encore torturés. Qu’est-ce que c’est? Est-ce que – est la démocratie? C’est une manifestation de la démocratie? Par ailleurs, il a été nommé récemment Décembre, à mon avis. Même si nous supposons que tout le gouvernement corrompu là, je pense qu’il même voler quelque chose n’a pas eu le temps.
Et lorsqu’elle est saisie la construction du Parti des régions? Vous savez ce qui s’est passé? Il n’y avait personne du parti quelque part. Je suis allé deux à trois employés, le personnel technique, et un ingénieur a déclaré que les assaillants: «Les gars, nous libèrent les femmes manquent, s’il vous plaît. I – un ingénieur, je n’ai même pas rien à voir avec la politique « . Il a été immédiatement abattu à l’avant de la foule. La deuxième personne de la même équipe technique ont été parqués dans un sous-sol et bombardé avec des bouteilles de «cocktails Molotov» et brûlé vif. Il est aussi une manifestation de la démocratie?
Et quand nous le voyons, nous comprenons que les citoyens inquiets de l’Ukraine – et russe, les Ukrainiens, d’une manière générale la population vivant dans les régions de l’est et du sud de l’Ukraine. Ce qui les inquiète? Ils sont préoccupés par ici est un gâchis. Et si nous voyons que ce trouble commence dans les régions de l’Est, si les gens nous ont demandé de l’aide, et un appel solennel du président légitime actuelle, nous avons déjà, nous nous réservons le droit d’utiliser tous les moyens à notre disposition pour protéger ces citoyens. Et nous pensons qu’il est tout à fait légitime. Il s’agit d’une mesure extrême.
Et plus. Je tiens à vous dire ce que nous pensions, et je crois que nous allons supposer que l’Ukraine – non seulement notre plus proche voisin, et vraiment notre fraternelle république voisine. Et nos forces armées – ce compagnons d’armes, des amis, beaucoup d’entre eux connaissent personnellement. Et je suis sûr, et je tiens à souligner ici, c’est que je suis sûr que les militaires militaires ukrainiens et russes ne sont pas sur des côtés opposés, et sur le même côté.
D’ailleurs, c’est à peu près la chose dont je parle maintenant, cette unité se produit en Crimée. Après tout, note, Dieu merci, il n’y a pas un seul coup de feu et aucune victime, sauf l’agitation sur la zone qui s’est passé il ya une semaine, je crois. Mais ce qui s’est passé? Les gens sont venus et ont bloqué les unités armées, des unités des forces armées et convenu avec eux qu’ils doivent obéir aux exigences et aux souhaits de la population vivant dans la région. Il n’y avait aucune escarmouche, jamais été abattu, aucun coup de feu.
Ainsi, la situation tendue dans la Crimée, associée à l’utilisation possible des forces armées, elle a été tout simplement épuisé, ce n’était pas nécessaire. Seulement ce besoin était et ce que nous faisions, nous avons renforcé la protection de nos installations militaires parce qu’ils ont reçu des menaces tout le temps, et nous avons vu que dans la Crimée a resserré boevichki des organisations nationalistes. Nous l’avons fait et fait correctement et à temps. Par conséquent partir du fait que nous dans l’est de l’Ukraine et quelque chose comme ça n’est pas nécessaire.
Mais une fois encore, je tiens à souligner. Bien sûr, ce que je m’apprête à dire, il n’est pas inclus dans ma juridiction, et nous n’allons pas interférer. Mais nous croyons que tous les citoyens de l’Ukraine, je le répète, peu importe où ils vivent, devraient bénéficier des mêmes droits de participer à la vie du pays et dans la détermination de l’avenir de ce pays.
Je voudrais placer ceux qui se considèrent l’autorité légitime, se hâta de procédures pertinentes, en raison de la mission nationale pour la politique intérieure, étrangère, économique, et en particulier la définition de l’avenir de l’Ukraine ne le font pas.
Marchés. En ce qui concerne les marchés, comme vous le savez, les marchés ont montré une certaine nervosité avant les événements en Ukraine, avant qu’ils ne dégénèrent. Cela est principalement dû à la politique de la Réserve fédérale des États-Unis, qui a pris certaines décisions qui ont fait des investissements dans l’économie américaine elle-même est très attrayant, et les investisseurs des marchés émergents ont commencé à retirer de l’argent, en fait, le marché américain. Cette tendance générale est lié en aucune façon avec l’Ukraine. Inde a le plus souffert, à mon avis, et les autres pays des BRICS . Russie – trop. Légèrement plus petit que, par exemple, en Inde, mais aussi. C’est la raison fondamentale.
En ce qui concerne les événements en Ukraine, oui, la politique affecte toute façon toujours les marchés, l’argent aime la paix, la tranquillité et la stabilité. Mais il me semble que c’est un effet tactique, temporaire et provisoire.
S’il vous plaît.
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, s’il vous plaît me que vous attendez une réponse ferme aux actions de la Russie avec ses partenaires occidentaux? Pourriez-vous nous dire sur les détails de vos conversations avec des partenaires occidentaux, parce que dès que le service de presse a eu lieu? Et Sommet «huit» à Sotchi sera ou non, pensez-vous?
VLADIMIR POUTINE: En ce qui concerne la réaction attendue, si «huit» et parler. Nos conversations sont confidentielles, et certains sont même sur des lignes fermées. Donc, je ne me sens pas le droit de divulguer que nous discutions avec leurs partenaires. Mais je me réfère à certaines déclarations publiques de leurs collègues des pays occidentaux et, sans mentionner de noms, de les commenter ensemble.
Ce que nous prêtons attention? On nous accuse souvent de l’illégitimité de nos actions, et quand j’ai posé la question: «Pensez-vous que tout ce que vous avez est légitime » – disent-ils, « Oui. » Une action est nécessaire pour rappeler aux Etats-Unis en Afghanistan, en Irak, en Libye, où ils ont agi soit sans sanctions du Conseil de sécurité de l’ONU, ou dénaturé le contenu de ces résolutions, car il était en Libye. On connaît à l’épeautre n’a pu fermer le ciel pour piloter des avions du gouvernement, et partout dans le bombardement et la participation des forces spéciales dans les opérations au sol.
Nos partenaires, en particulier les Etats-Unis, toujours clair pour eux-mêmes expriment clairement leurs intérêts géopolitiques et nationaux, de les poursuivre de façon très agressive, et puis, guidés par la phrase bien connue: «Qui n’est pas avec nous est contre nous» – traîne le reste pour eux-mêmes monde. Et qui n’a pas glisser vers le haut, il a commencé dès balle, et à la fin, dotyukivayut habituellement.
Nous partons de l’autre, nous partons du fait que nous agissons uniquement légitime. Et je suis toujours prôné le respect du droit international. Une fois encore, je tiens à souligner que nous croyons que même si nous prenons une décision, si je vais prendre une décision sur l’utilisation des forces armées, il sera droit international légitime, entièrement conforme et général, que nous avons un président légitime de la circulation, et en conformité avec nos obligations dans ce cas coïncide avec nos intérêts à protéger ces personnes, que nous considérons comme étroitement liée à la fois historiquement et nous en termes de culture générale, étroitement liée économiquement. Ceci est cohérent avec nos intérêts nationaux – pour protéger ces personnes. Et c’est une mission humanitaire. Nous ne prétendons pas à asservir quelqu’un, quelqu’un de dicter quoi que ce soit. Mais bien sûr, nous ne pouvons pas rester à l’écart, si nous voyons qu’ils commencent à poursuivre, de détruire, d’exposer les abus. Je voudrais bien voir il n’est pas venu.
QUESTION: Comment évaluez-vous la réaction de l’Occident aux événements en Ukraine et les menaces contre la Russie: des sanctions nous menacent et de la «huit»?
VLADIMIR POUTINE: En ce qui concerne les sanctions. Les conséquences de ces sanctions devraient d’abord penser à ceux qui va les présenter. Je pense que dans le monde d’aujourd’hui où tout est interconnecté et dépendent tous les uns des autres de toute façon, bien sûr, peut causer des dommages à l’autre, mais ce sera dommage mutuelle, et ce, aussi, besoin de réfléchir. Il s’agit de la première.
Ensuite, et c’est, en fait, le plus important. Je l’ai déjà dit à propos de nos motivations. Et les motifs de nos partenaires, ce sont les? Ils ont soutenu le coup d’Etat anticonstitutionnel et saisie armé du pouvoir, ces personnes ont déclaré légitime et tentent de les soutenir. Par ailleurs, nous sommes dans ce cas plein de patience et même une volonté de coopérer, nous ne voulons pas interrompre votre coopération. Comme vous le savez, il ya quelques jours, j’ai demandé au gouvernement d’envisager la façon dont vous pouvez continuer à communiquer même avec ces autorités à Kiev, que nous ne pensons pas, c’est tout à fait légitime, afin de maintenir la coopération dans le domaine de l’économie et de l’industrie. Nous croyons que nos actions sont pleinement justifiés, et les menaces à la Russie – improductif et nuisible.
Quant à la « G », je ne sais pas. Nous nous préparons pour « huit », sera prêt à accepter à nos collègues. S’ils ne veulent pas venir – bien, non.
QUESTION: J’ajouterai juste sur les contacts. Je comprends que vous pensez que le Premier ministre de Crimée Aksenov gouvernement légitime et représentatif. Et si vous êtes prêt pour des contacts avec ceux qui sont maintenant à Kiev se considère l’autorité légitime?
VLADIMIR POUTINE: je viens de dire. Vous n’auriez probablement pas entendre.
QUESTION: Je veux dire, vous venez au plus haut niveau pour une solution politique.
VLADIMIR POUTINE: Et au plus haut niveau, je n’ai pas de partenaire il. Il n’y a pas président. Et il ne peut pas être avant les élections générales.
En ce qui concerne la Crimée, bien sûr, le Parlement de Crimée a été créée en 2010, si ma mémoire est, quelque part en Décembre 2010. Il se compose de 100 membres, il ya six partis représentés. Et après l’ancien premier ministre a démissionné, le Parlement de Crimée en conformité avec les procédures et la loi au Conseil suprême de Crimée a élu un nouveau Premier ministre. Bien sûr, il est légitime. Il a suivi toutes les procédures prévues par la loi, il n’y a pas violation. Mais quand il ya quelques jours, un groupe d’hommes armés a tenté de saisir le bâtiment du Conseil suprême de Crimée, il a certainement provoqué une grande inquiétude parmi eux Crimée. L’impression qui veulent mettre Crimée, Kiev scénario et commencer par là une série d’attentats et le chaos. Bien sûr, il est très préoccupé par les Crimée. C’est pourquoi ils ont créé un comités d’auto-défense et ont pris le contrôle de toutes les forces armées.
D’ailleurs, quand je regardais dernier un certificat attestant qu’ils ont là-bas, c’est une sorte de fortifiée. Il ya plusieurs dizaines d’unités « S-300″ plusieurs dizaines « Bukov » 22.000 soldats et so-so service. Mais, Dieu merci, tout cela est maintenant, comme je l’ai dit, sans un seul coup de feu est dans les mains du peuple de Crimée.
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, vous pouvez préciser? Les personnes qui ont effectué les pièces de blocage de l’armée ukrainienne en Crimée – sous une forme très semblable à la forme militaire russe. Ils ont été des soldats russes, c’était l’armée russe?
VLADIMIR POUTINE: Et vous regardez l’espace post-soviétique. C’est pleine forme, qui est semblable à la forme de … Allez faire des emplettes avec nous, et que vous achetez, il n’importe quelle forme.
QUESTION: Mais ils étaient soldats ou non russes?
VLADIMIR POUTINE: Il était une des forces locales d’autodéfense.
QUESTION: Donc, bien préparé? Simplement, si on le compare avec les forces d’auto-défense à Kiev …
VLADIMIR POUTINE: Cher collègue, regardez comment bien préparé étaient les personnes qui étaient actives à Kiev. Ils sont connus pour être prêt pour les bases correspondantes dans les territoires voisins de la Lituanie, de la Pologne et de l’Ukraine elle-même aussi. Instructeurs formés, préparés depuis longtemps. Ils ont déjà fait irruption dans des dizaines à des centaines, sont organisées, avec de bons systèmes de communication. Tout fonctionne comme sur des roulettes. Vous avez vu comment ils fonctionnent? Absolument professionnelle commandos. Pourquoi pensez-vous que dans la Crimée devrait être pire?
QUESTION: Vous pouvez ensuite spécifier une question? Avons-nous participé à la préparation des forces d’auto-défense de la Crimée?
VLADIMIR POUTINE: Non, ne prenez pas.
QUESTION: Et comment imaginez-vous l’avenir de la Crimée? Et examiner si la version de son adhésion à la Russie?
VLADIMIR POUTINE: Non, pas pris en considération. Et je crois que seuls les citoyens résidant dans un territoire donné, dans des conditions de liberté d’expression, de la sécurité peuvent et doivent déterminer leur propre avenir. Et si elle a été autorisée à, disons, faire les Kosovars Albanais du Kosovo, si elle a été autorisée à faire du tout dans de nombreuses parties du monde, le droit des peuples à l’autodétermination, tel qu’il est consacré, pour autant que je sais, et dans les documents pertinents de l’ONU, n’a pas été annulé. Mais nous ne sommes en aucun cas ne seront pas provoquer de telles décisions, et en tout cas ne sera pas réchauffer ces sentiments.
Je tiens à souligner, je crois que seuls les citoyens vivant dans certaines régions, ont le droit de déterminer leur propre destin.
QUESTION: Deux questions. Vous appelez une mesure extrême la possibilité d’entrer des troupes sur le territoire de l’Ukraine, mais encore vous n’avez pas complètement exclure. Mais dans ce cas, si les troupes sont introduits, peut commencer une guerre. Êtes-vous inquiet?
Et la deuxième question. Vous dites que Ianoukovitch n’a pas donné l’ordre de tirer sur les gens. Mais quelqu’un a tiré sur les manifestants. Et il est clair que ceux-ci étaient des tireurs d’élite, ils ont été formés tireurs d’élite.
VLADIMIR POUTINE: Et vous savez que maintenant il y a une opinion, y compris parmi les manifestants récemment, il a été l’un des instigateurs des partis d’opposition. Avez-vous entendu parler de cela?
RÉPONSE: Non, je n’ai pas entendu parler.
VLADIMIR POUTINE: Voici un aperçu de ces matériaux. Ils sont dans le domaine public. Par conséquent, il est maintenant très difficile à comprendre. Mais nous sommes parfaitement vu lorsque des combattants « Berkut » se tenaient avec des boucliers, et ils ne tirent pas de l’air, et des armes militaires les prostrelivaya travers. C’est ce que nous venons de voir. Et qui a donné les ordres communs de placement, je ne sais pas. Je sais que ce que j’ai dit Ianoukovitch. Et il m’a dit qu’il n’avait pas donné de tels ordres et, en outre, chargé – après la signature de l’accord – même retirer toutes les forces de police de la capitale.
Si vous voulez, je peux vous dire encore plus. Il m’a appelé au téléphone et je lui ai dit qu’il n’avait pas. Je dis, « Tu viens anarchie, le chaos viendra dans la capitale. Pitié pour les gens. » Mais il l’a fait de toute façon. Et dès qu’il l’a fait et a pris ses fonctions, et le gouvernement, et j’ai commencé à le chaos d’où je l’ai prévenu qui continue à ce jour.
QUESTION: Et la réponse à la première question. Ce qui pourrait être une guerre, il ne vous dérange pas?
VLADIMIR POUTINE: Je ne m’inquiète pas, parce que nous n’allons pas et ne vais pas lutter avec le peuple ukrainien.
QUESTION: Mais les troupes ukrainiennes là, l’armée est ukrainien.
VLADIMIR POUTINE: Écoutez attentivement. Je veux que vous me comprenez bien, si nous acceptons une telle solution – que pour la protection des citoyens ukrainiens. Et même si quelqu’un tente de l’armée de tirer sur leur peuple, pour qui nous sommes derrière, pas en avant et l’arrière. Laissez-les essayer de tirer sur les femmes et les enfants! Et je regarde ceux qui donnent une telle ordonnance en Ukraine.
QUESTION: Vous pouvez poser des questions, Vladimir Vladimirovitch.? Nos collègues, mes collègues, qui travaillent maintenant en Ukraine, presque tous les jours disent (cela s’applique à la « Berkut », à l’exception, peut-être, la Crimée), la situation ne fait que s’aggraver dans les employés de « Berkut ». En particulier, à Kiev, il ya des employés concernés qui sont maintenant à l’hôpital, ils ne sont pas quelque chose qui n’est pas traitée, ils ne sont même pas nourris. Et il ya aussi la famille et les personnes âgées qui vivent dans le dortoir, ils ne peuvent pas sortir de la maison parce qu’ils ne donnent pas autour de barricades, ils sont humiliés. Pouvez-vous commenter? Et si la Russie peut aider ces familles et les employés?
VLADIMIR POUTINE: Oui, c’est très inquiétant question nous. Après tout, ce n’est pas des employés du ministère russe de l’Intérieur, et nous nous sommes dirigés là situation. Mais à partir d’un des considérations purement humanitaires serait correct si nos organisations des droits de l’homme, par la manière, peut-être poser la même Vladimir Petrovich Lukin, ou un, ou avec des collègues, avec qui il a participé à l’élaboration du fameux document du 21 Février de l’année en cours avec les représentants de la France, l’Allemagne et la Pologne, qu’ils allaient encore à la scène, a vu ce qui se passait avec ces employés « Berkut », qui a violé rien, et a agi conformément à l’ordre. Ils sont soldats, étaient là sous les balles, ils aspergent le feu « , des cocktails Molotov ont été jetés ». Maintenant, ils sont blessés, se trouvant à l’hôpital. En général, il est difficile d’imaginer. Nous avons même capturé pendant la guerre nourris et traités. Et non seulement ils traiter arrêtés, se sont arrêtés pour les nourrir. Et entouré le bâtiment où leurs parents là-bas plus les victimes d’intimidation. Je pense que les organisations des droits de l’homme devraient faire attention à elle. Eh bien, nous, pour notre part, nous sommes prêts à les prendre pour le traitement en Russie, s’il vous plaît.
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, le retour à la réaction de l’Occident, le Conseil de la Fédération a vous proposé en réponse à une déclaration forte de Secrétaire d’État des États-Unis de retirer notre ambassadeur des États-Unis. Allez-y?
VLADIMIR POUTINE: Secrétaire d’Etat, bien sûr, un homme important. Mais ce n’est pas l’autorité suprême, qui définit la politique étrangère des États-Unis. Nous voyons les déclarations de divers politiciens et des représentants des différentes forces politiques. Il s’agit d’une mesure extrême. Si besoin est, et il sera utilisé. Mais je ne voudrais pas, parce que je pense que, dans la coopération au niveau international dans le domaine de l’économie, la politique, la sécurité internationale ne s’intéresse pas seulement avec leurs partenaires russes, mais nos partenaires sont intéressés à travailler avec nous. Très facile à détruire ces outils de collaboration et est très difficile de les recréer.
QUESTION: Russie a pris part dans le destin de M. Ianoukovitch. Comment voyez-vous son rôle futur, son destin?
VLADIMIR POUTINE: Vous savez, il est très difficile de le dire, j’ai analysé avec soin. Je pense que l’avenir politique, il n’a pas, je le lui ai dit. Et ce qui est «participé au destin» – nous l’avons fait trop de considérations humanitaires. Je pense, en gardant à l’esprit que la mort – est le plus facile de se débarrasser du président légitime, qu’il ne serait arrivé. Je pense qu’il serait juste probablement tué. Par ailleurs, la question se pose: Pourquoi?
Après tout, la note qui a commencé avec toute cette agitation qui a été le déclencheur. Servi formellement qu’il n’avait pas signé un accord avec l’Association de l’Union européenne. Aujourd’hui, il ressemble à une sorte de non-sens à ce sujet même ridicule de dire. Ce que je veux attirer votre attention? Après tout, il n’a pas refusé de signer un accord d’association. Il a dit, nous estimons comme suit, et est un contenu qui n’est pas compatible avec nos intérêts nationaux. Nous ne pouvons pas augmenter considérablement les prix de l’énergie pour la population, parce que notre population et donc dans une situation assez difficile. Nous ne pouvons pas faire cela, la cinquième, dixième, ne peut pas briser le direct nos liens économiques avec la Russie, parce que nous avons une très grande coopération.
Je l’ai déjà dit, ces chiffres sont les suivants: 14 milliards des exportations sont à peu près 5 milliards de dollars dans la production directe Russie deuxième, troisième transformation. C’est toute la machinerie en Russie est pratiquement rien a l’Ouest de l’Ukraine. Et ici est de prendre une pause, entrez dans l’économie ukrainienne aux normes techniques européennes par laquelle nous sommes, Dieu merci, ne fonctionnent pas, ou pas, Dieu merci, nous arrivons toujours à ces normes, mais aujourd’hui, nous n’avons pas en Russie, ces normes . Cela signifie que le lendemain sera briser la relation et des liens de coopération, les entreprises vont augmenter, le chômage va augmenter. Et qu’at-il dit? « Je ne peux pas le faire brusquement, nous allons discuter plus loin. » Il n’a pas refusé de signer, il a demandé la possibilité de poursuivre poobsuzhdat ce document et a immédiatement commencé cette orgie.
Et qu’a-t-il pas agi dans les limites de sa compétence? Il a agi entièrement de sa compétence, rien cassé. C’était juste une excuse pour lui de soutenir les forces de l’opposition dans la lutte pour le pouvoir. En général, et ce n’est rien de spécial. Mais, à moins qu’il était possible d’apporter l’anarchie à un coup d’Etat anticonstitutionnel et s’emparer du pouvoir par la force des armes, puis de plonger le pays dans un chaos dont elle est maintenant? Je pense que cette situation est inacceptable. Et nos partenaires occidentaux faire en Ukraine n’est pas la première fois. J’ai parfois l’impression qu’il ya une grande flaque d’eau pour s’asseoir quelque part en Amérique certains employés de laboratoire et comment les rats effectuées des expériences, ne réalisant pas les conséquences de ce qu’ils font. Pourquoi était-il nécessaire de le faire ici? Qui peut expliquer? Explication, absolument pas.
Le même à l’époque de la première Maidana quand même Ianoukovitch a été interdit de pouvoir. Eh bien, pourquoi il était nécessaire de tenir troisième tour des élections? Qui est transformé en une farce – la vie politique de l’Ukraine s’est transformée en une farce. Généralement pas de Constitution sans se conformer. Vous voyez, nous habituons les gens sur le fait que si quelqu’un peut briser tous, ce droit appartient à tout le monde, et le chaos commence. C’est là le danger. Et encore besoin d’éduquer notre société sur les autres traditions: la tradition de respect de la loi fondamentale du pays, la Constitution et les autres lois. Bien sûr, tout cela n’est pas toujours réussi, mais c’est la façon de la Loi – comme l’éléphant dans la pièce – je pense, contre-productive et très dangereux.
S’il vous plaît.
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, Tourtchinov illégitime, de votre point de vue.
VLADIMIR POUTINE: En tant que président – oui.
QUESTION: Et je suis heureux – partiellement légitime.
VLADIMIR POUTINE: Oui.
QUESTION: Est-Yatsenuk légitime et le gouvernement? Et si la Russie est préoccupée par la croissance des éléments radicaux, ils sont souvent pire lorsque se trouvent face à un ennemi simulé, qui, pour eux, de leur point de vue, bien sûr, est maintenant la Russie et la position de la Russie que nous sommes prêts à envoyer des troupes. De cette question: si elle fait sens et est-il possible de négocier et de discuter avec les forces modérées dans le gouvernement ukrainien, à nouveau avec Iatseniouk et est-il légitime?
VLADIMIR POUTINE: Regardez, vous ne semblez pas entendre ce que je disais. Je l’ai dit il ya trois jours, j’ai ordonné au gouvernement de reprendre les contacts au niveau gouvernemental avec des collègues dans les ministères et départements compétents de l’Ukraine, afin de ne pas rompre les liens économiques, à les soutenir dans leur quête pour restaurer l’économie. C’est un ordre direct au gouvernement. En outre, et Dmitri Medvedev et en contact avec Yatsenuk. Et Narychkine en tant que Président du Parlement, je sais, en contact avec Tourtchinov. Mais, je le répète, tous nos liens commerciaux, humanitaires, économiques et autres peuvent être développées dans le format plein seulement après la normalité et les élections présidentielles auront lieu.
QUESTION: « Gazprom » a déjà dit qu’il revenait aux anciens prix du gaz depuis Avril.
VLADIMIR POUTINE: « Gazprom » ne pouvait pas dire, vous avez écouté attentivement, il ou mal exprimé. « Gazprom » ne renvoie pas à l’ancien prix, il ne veut pas prolonger les réductions actuelles, ce qui était un accord d’entrer ou de ne pas les inscrire sur une base trimestrielle. Avant tous ces événements à la phase aiguë de ces événements. Je sais que sur les négociations « Gazprom » avec leurs partenaires, « Gazprom » a accepté et le Gouvernement de la Fédération de Russie convenu que « Gazprom » introduit un rabais allant jusqu’à 268,5 dollars par millier de mètres cubes, le gouvernement russe donne la première tranche du prêt, il n’est pas formellement crédit et l’achat d’obligations – quasi-prêts, la première phase de 3 milliards $. Une partie ukrainienne s’engage à rembourser la totalité de la dette, qui est née dans la seconde moitié de l’année dernière, et de payer régulièrement les paiements courants pour le produit consommé – pour le gaz consommé. La dette n’est pas remboursée, les paiements complets actuels ne sont pas payés.
En outre, si le partenaire ukrainien ne paie pas pour Février, même alors, l’augmentation de la dette. Aujourd’hui, il est quelque part 1,5 au 1600000000 (dollars). Et si pas payer entièrement pour Février, il sera près de 2 milliards de dollars. Naturellement, « Gazprom » dans ces conditions, dit: « Ecoutez, les gars, si vous nous ne payez toujours pas les factures, et nous fixer seulement la hausse de la dette, nous allons donc mieux nous fixerons le prix normal, et à une réduction ». Il s’agit d’une composante de l’activité purement commerciale de « Gazprom », qui, dans ses plans d’investissement, ainsi que dans toute grande entreprise, il ya des parties rentables et consommables, et il est prévu. Si ils ne reçoivent pas d’argent des partenaires ukrainiens, ils étaient inférieurs de leur propre investissement, pour eux, c’est un vrai problème. Et ce, d’ailleurs, n’est pas associée à des événements en Ukraine, avec toute politique. Un accord a été: «Nous allons – l’argent et de réduire les gaz, et vous – paiements, mais régulièrement. » L’argent donné la réduction des coûts de gaz, et aucun paiement. Eh bien, naturellement, « Gazprom » dit: « Les gars, cela ne fonctionnera pas. »
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, le service de presse Merkel après votre conversation téléphonique a dit que vous avez consenti à la direction de certains de la mission d’enquête internationale et la création d’une partie du groupe de contact.
VLADIMIR POUTINE: J’ai dit que nous avons des personnes spécialement formées qui ont compétence pour examiner cette question et en discuter avec leurs collègues allemands. En général, il est possible. J’ai donné des instructions à notre ministre des Affaires étrangères, qui, à mon avis, aujourd’hui ou demain ou hier devaient répondre, ou ont rencontré le ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d’Allemagne, M. Frank-Walter Steinmeier, et vais discuter de cette question.
QUESTION: Il est clair que plus l’attention se concentre sur la Crimée. Mais nous allons voir ce qui se passe dans d’autres régions de l’Ukraine à l’est, au sud. Voir ce qui se passe à Kharkiv, Donetsk, Lugansk, Odessa. Y at-il des gens soulèvent drapeau russe sur les bâtiments du gouvernement, appelant à la Russie pour aider, demander de l’aide. La Russie est de réagir à ce qui se passe?
VLADIMIR POUTINE: Et vous pensez que nous n’avons pas la réaction? Seulement, à mon avis, il est maintenant une heure à discuter de cette réaction. Mais dans certains cas, pour moi ce qui se passe est inattendu. Maintenant, je ne vais pas dire que cela signifie concrètement, mais une telle réaction, en principe, il est prévu. Et nos partenaires de l’Ouest, et ceux qui se disent les autorités à Kiev aujourd’hui, ils ne prévoient pas que cela se produira? Je l’ai dit mille fois déjà, pourquoi vous divisez le pays, que faites-vous? Non, brindille encore pyrale, disent-ils. Bien sûr, les gens qui vivent dans la partie orientale, qu’ils comprennent qu’ils sont pour un seuil de décision étaient.
En général, il est nécessaire d’adopter une nouvelle constitution et tenir un référendum afin que tous les citoyens de l’Ukraine ont estimé qu’ils complicité dans ce processus, influer sur la formation des principes de base de leur appareil d’État. Mais ce n’est certainement pas notre entreprise. Cela devrait résoudre les Ukrainiens et les autorités ukrainiennes elles-mêmes, de toute façon. Je pense que, après la formation des autorités légitimes, après avoir été élu président, élection d’un nouveau parlement, qui avait été prévu (peut-être tout cela), je voudrais revenir à leur place, à accepter la constitution, et, je le répète, dans un référendum, à tous personnes ont voté, et alors nous devons tous accomplir. Et si quelqu’un se sentira qu’il était derrière le processus, il ne pas d’accord et sera toujours le combattre. Eh bien, pourquoi devraient-ils? Je le répète, ce n’est pas notre affaire.
QUESTION: Mais les élections présidentielles prévues, la Russie reconnaît qui aura lieu en Ukraine?
VLADIMIR POUTINE: Cela dépend de la façon dont ils seront tenus. Si se tiendra ici à la même terreur que nous voyons maintenant à Kiev, ne reconnaissent pas.
QUESTION: Je suis à nouveau sur la réaction de l’Occident. Ici contre une telle rhétorique dure, nous avons récemment Paralympiques de Sochi est d’être ouvert. N’est-ce pas elle, en effet, sur le point de s’effondrer, au moins en l’espace d’information internationale?
VLADIMIR POUTINE: Je ne sais pas, je pense que ce serait le comble du cynisme – soumis à une sorte de danger maintenant portant les Jeux paralympiques. Nous savons tous ce qu’il est – c’est un forum, un forum de sport international, où les personnes handicapées peuvent se manifester, pour prouver à lui-même et au monde qu’ils sont en effet, comme il est maintenant dit souvent, les gens sans aucune restriction, et au contraire, ils ont des possibilités illimitées de démontrer leurs réalisations dans ce sport. Si quelqu’un essaie de perturber, cela signifie une seule chose – que les personnes qui prennent ou peuvent prendre de telles tentatives, rien n’est sacré.
QUESTION: Question sur la possibilité hypothétique de l’utilisation de troupes. De l’ouest, sont les revendications que dans le cas d’une telle décision violerait l’accord Russie Russie Budapest selon laquelle, en échange de l’abandon de la sécurité des armes nucléaires, de l’intégrité territoriale de l’Ukraine garantit aux États-Unis et certains partenaires de l’OTAN. Dans le cas d’un tel développement est possible si l’intervention ici dans ce conflit local des acteurs mondiaux et de l’escalade ainsi le conflit dans une phase globale, d’évaluer si vous êtes les risques?
VLADIMIR POUTINE: Nous sommes avant de vous dire quelque chose au public, et encore moins fait quelque chose en termes pratiques, la façon dont nous devrions penser et essayer de prévoir toutes les conséquences et les réactions de tous les acteurs possibles.
En ce qui concerne ces accords, qui vous dit que vous représentez « Reuters », hein?
RÉPONSE: Oui.
VLADIMIR POUTINE: C’est ainsi que vous ne les cercles politiques publiques à évaluer les événements? Mais il est clair qu’il est saisie armé du pouvoir, non? Évident. Et il est clair que cela est fait contraire à la constitution. C’est un fait évident, n’est-ce pas? Eh bien, la vérité.
Réponse: je vis en Russie.
VLADIMIR POUTINE: Bravo. Vous devez prendre le service diplomatique. De vous faire un bon diplomate. Et la langue de la diplomatie, comme on le sait, est donnée dans le but de dissimuler ses pensées. Donc, quand nous soulignons qu’il est inconstitutionnel coup, nous disons: «Non». Et vous avez probablement entendu à plusieurs reprises: «Ce n’est pas anti-constitutionnel coup, il n’est pas saisie armé du pouvoir. Ce – la révolution « Alors?
RÉPONSE: Oui.
VLADIMIR POUTINE: Oui. Et si c’est une révolution, qu’est-ce que cela signifie? Alors je ne peux pas, mais d’accord avec certaines de nos experts, qui estiment que dans ce domaine il ya un nouvel état. Tout comme il était après l’effondrement de l’Empire russe, après 1917, il est un nouvel état. Et avec cet État et dans le respect de l’État, nous n’avons pas signé les documents contraignants.
QUESTION: d’abord, je tenais à le préciser. Vous avez dit que si sera introduit des sanctions américaines, elle causera des dommages pour les deux économies. Est-ce que cela signifie ou n’implique pas que cela signifie que la Russie, trop, peut entrer dans leurs mesures de rétorsion et toute réponse serait symétrique?
Et vous avez parlé de réductions sur le gaz. Mais encore nous nous souvenons de l’accord le 15 milliards de dollars pour l’achat d’obligations de l’Ukraine. La première tranche est déjà là, à la fin de l’année dernière. Allocation des fonds restants ne sont pas gelés? Ou sur ce que vous spécifiquement des conditions économiques et politiques, que vous les risques politiques et économiques de pose, si vous fournir de l’aide?
VLADIMIR POUTINE: Je vais répondre à votre question. En principe, nous serions prêts à envisager d’autres mesures pour fournir d’autres tranches, le rachat, le rachat d’obligations supplémentaires. Mais nos partenaires occidentaux nous ont demandé de ne pas le faire, ils nous demandent de travailler ensemble dans le cadre du FMI, afin d’encourager le Gouvernement de l’Ukraine, les autorités ukrainiennes à entreprendre les réformes nécessaires pour la reprise économique. Mais de cette manière, nous allons travailler, mais étant donné le fait que « Naftogaz » Ukraine ne paie pas de « Gazprom », le gouvernement est en train d’étudier diverses options.
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, la dynamique de la situation pour le meilleur ou pour le pire avec l’Ukraine?
VLADIMIR POUTINE: En général, cependant, il me semble qu’il est aligné progressivement. Nous devons être sûr d’envoyer un signal aux gens qui vivent dans le sud-est de l’Ukraine, ils doivent se sentir « un » – sécurité et « b » – les participants d’un processus de stabilisation politique générale dans le pays.
QUESTION: Vous avez parlé tout le temps, plusieurs fois mentionnés sur l’avenir des élections légitimes en Ukraine, c’est qui vous voyez encore comme un candidat de compromis? Il est clair que vous dites, les gens de l’Ukraine devraient choisir pour moi-même, mais tout de même?
VLADIMIR POUTINE: je vous dire honnêtement, je ne peux même pas imaginer.
RÉPONSE: Il semble que les gens ne sont pas trop, parce que celui qui a parlé, tout dans la confusion.
VLADIMIR POUTINE: Je ne peux pas dire. Vous savez, après de tels événements est très difficile de prédire quoi que ce soit. J’ai déjà dit que tout mon rejet de cette méthode d’arriver au pouvoir et le parti pris actuel gouvernement et l’actuel président, Je suis en désaccord avec cette forme, et en général, et pour l’Ukraine, et l’ex-Union soviétique dans son ensemble, en particulier. Pourquoi? Parce que, encore une fois cette idée, ce n’est pas la culture juridique inspire. Et si quelqu’un est autorisé à agir ce qui signifie que tout ce qui est permis. Et cela signifie que le chaos. Vous voyez, c’est la pire chose qui puisse être pour les pays à l’économie fragile et le système politique stable. Mais dans ces conditions, peut sauter n’importe qui. Vous vous rappelez comment unités Rem exploités à un moment où Hitler était impatient de pouvoir. Ensuite, ces unités Rem annulés et détruits, en fait. Mais ils ont joué un rôle dans l’accession de Hitler au pouvoir. Peut être les options les plus inattendus.
Et, je le répète, dans un environnement où les gens sont à juste titre, je tiens à souligner, et en cela je suis d’accord avec Maidan, exigeant à juste titre des changements radicaux dans la politique et apporter de nouvelles personnes, totalement frais dans les échelons supérieurs du pouvoir, il ya un danger que le-the-box diable peut sauter tout natsionalyuga, élément polufashistvuyuschy (et nous voyons qu’il ya des gens se promener avec des bandages encore, à Kiev, qui ressemble à une croix gammée), certains anti-sémite, ce danger existe aussi.
QUESTION: Juste pour aujourd’hui, en passant, représentant permanent de l’Ukraine auprès de l’ONU a déclaré que les crimes ont été falsifiés Union soviétique Banderivtsy. 9 mai assez proche déjà, ici, nous voyons juste, qui sont actuellement au pouvoir. Vous pouvez entrer en contact avec eux à tous?
VLADIMIR POUTINE: Contactez la nécessité de tout mais les criminels évidents, mais dans de telles circonstances, je le répète, il ya un risque que quelqu’un se glisse, avec des personnes déjà vues tout à fait extrêmes, qui, bien sûr, aura des conséquences désastreuses pour le pays.
QUESTION: Vous avez dit que vous avez besoin de communiquer avec tout le monde. Ioulia Timochenko des jours comme disant qu’il allait à Moscou.
VLADIMIR POUTINE: Vous savez que nous avons toujours travaillé avec beaucoup de succès avec les autorités de l’Ukraine fait des opinions politiques différentes: Leonid Danilovich et ont travaillé et ont travaillé avec M. Iouchtchenko. Et moi, en tant que Premier ministre de la Fédération de Russie a travaillé avec Mme Timochenko: Je suis allé à elle, elle est venue à la Russie. Il y avait différentes situations liées à la mise en œuvre des activités conjointes dans les économies de la direction, et les débats ont été, et les arrangements étaient. Mais c’était un travail généralement constructif. Si elle veut venir en Russie, qu’ils viennent. Mais aujourd’hui elle – pas le premier ministre. À quel titre il arrivera? Mais pour empêcher son arrivée en Russie, personnellement, je n’ai pas l’intention.
QUESTION: Une petite question courte: qui pensez-vous est derrière le coup d’Etat de cette organisation, comme vous dites, en Ukraine?
VLADIMIR POUTINE: Je l’ai déjà dit, je crois que tout cela est très bien préparé. Bien sûr, il y avait des milices, ils ont encore, et nous avons vu comment ils fonctionnent efficacement. Et dans ce sens, bien sûr, il ya des instructeurs occidentaux ont essayé. Mais ce n’est pas cela. Si l’alimentation a été forte, confiante, stable, aucun nationalistes ne seraient pas en mesure de faire ces pogroms et obtenir le résultat que nous voyons maintenant.
Le problème est qu’aucun des gouvernements précédents ne pense pas correctement sur les besoins des personnes. Et nous avons beaucoup de problèmes en Russie, nous avons beaucoup de problèmes sont très similaires, mais ils ne sont pas aussi nettes que là. Regardez, le revenu moyen par habitant en Russie – 29 700 roubles, et en Ukraine, si vous comparez roubles, 11 900, à mon avis. Près de trois fois moins. Pension nous avons en moyenne 10 700, et en Ukraine – 5,5 mille roubles. En moins de deux fois. A anciens combattants de la Seconde Guerre mondiale, nous obtiennent généralement presque le salaire moyen des travailleurs. C’est une différence très significative dans le niveau de vie. C’est ce que je devais penser dès le début. Et bien sûr, il serait nécessaire de lutter contre le banditisme contre le népotisme, le népotisme, en particulier dans l’économie. Les gens voient tout cela, et il provoque une méfiance envers les autorités.
C’est tout pour plusieurs générations, je tiens à souligner les politiciens ukrainiens modernes ont conduit au fait que les gens sont frustrés et veulent voir un tout nouveau design et de nouvelles, de nouveaux visages au sein du gouvernement. Ici, il est – la base des éléments nutritifs de base de ce qui s’est passé. Mais encore une fois, le changement de puissance est nécessaire, peut-être, selon toutes les apparences, elle a vraiment besoin de l’Ukraine, mais seulement de manière légitime dans la Constitution actuelle, et pas le violer.
QUESTION: Vladimir Vladimirovitch, et si en Crimée sera un référendum et le peuple décider de se séparer, les gens eux-mêmes, par un vote à la majorité, vous soutiennent?
VLADIMIR POUTINE: Le subjonctif est utilisé en politique jamais. Et je veux rester dans les règles.
QUESTION: Et Ianoukovitch vie à tous? Était d’informations qu’il est mort.
VLADIMIR POUTINE: Après avoir été sur le territoire de la Fédération de Russie, je l’ai vu une fois, c’était il ya deux jours. Il était bel et bien vivant et vous les mêmes désirs. Il comprend toujours froid aux funérailles de ceux qui propagent ces informations.
QUESTION: Pensez-vous, Vladimir Vladimirovitch, ces derniers mois, quand la situation a été aggravée en Ukraine, il y avait des erreurs de Ianoukovitch.?
VLADIMIR POUTINE: Vous savez, je ne vais pas répondre à cette question – non pas parce que je ne connais pas la réponse, mais je pense qu’il serait incorrect de ma part. Vous savez, parce que …
QUESTION: Vous sympathiser avec lui?
VLADIMIR POUTINE: Aucun. J’ai parfaitement d’autres sentiments. La personne qui exerce de telles fonctions, porte sur ses épaules les fonctions de chef de l’Etat, et des droits et des responsabilités là-bas. Mais le devoir le plus important – c’est la volonté du peuple qui lui confie le pays, agissant dans le cadre de la loi. Ici, il est nécessaire d’analyser si tout ce qu’il a fait – que lui a donné dans les mains de la justice et le mandat des électeurs ou pas. Analyser et faire eux-mêmes à une conclusion.
QUESTION: Quel genre de sentiments? Vous dites: «Non sympathie, et d’autres sentiments. » Si cela peut être trouvé.
VLADIMIR POUTINE: Nous parlerons plus tard.
QUESTION: Vous avez dit il ya deux questions que nous devons d’abord obtenir nos positions aux résidents du sud et du sud-est de l’Ukraine. Cela est compréhensible, du sud-est, mais …
VLADIMIR POUTINE: Avant tout, en principe, il est nécessaire de transmettre.
Pour tous les résidents et citoyens de l’Ukraine. Nous n’avons pas d’ennemis là-bas. Je répète encore une fois: Ukraine – un pays ami. Vous savez comment l’année dernière a conduit l’Ukraine à la Russie? 3,3 millions de personnes. Parmi ceux-ci, près de 3 millions déplacés en Russie pour travailler. Et ils travaillent ici, environ 3 millions de personnes. Savent combien d’argent qu’ils envoient à l’Ukraine de soutenir leurs familles? Calculer le salaire moyen des 3 millions de personnes. Milliards de dollars, il est une contribution importante au PIB du pays, ce n’est pas une blague. Et nous acceptons tous, et beaucoup de gens qui viennent et travaillent pour nous, à l’ouest de l’Ukraine. Ils sont tout pour nous, pour nous, ils sont tous frères.
QUESTION: Je voulais juste demander. Le premier lot parle maintenant le sud-est, il est compréhensible, mais en Occident, aussi, parce qu’il ya ethniques russes, russophones et leur situation est probablement pire, ils ne peuvent généralement pas lever la tête, là, ils réprimés minorité. Comment notre pays pour les aider?
VLADIMIR POUTINE: Nous croyons que les soi-disant autorités actuelles, si elles prétendent être considéré comme civilisé, doivent assurer la sécurité de ses citoyens sur tout le territoire de l’État, peu importe où ils vivent. Et bien sûr, nous allons surveiller de près pour elle.
Merci.
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