jeudi 17 mars 2022

Vers une Europe aux cent Donbass



A Hélène,

Ce 17 mars, à l'occasion de la Saint Patrick,  je profite d'une pause pour diriger mes pensées vers mes frères et mes sœurs d'Irlande dont je n'oublie pas qu'ils furent les premiers vainqueurs de la première libération réussie d'un peuple d'Europe face aux thalassocraties marchandes et colonialistes, aujourd'hui devenues mondialistes.

J'entends aujourd'hui des pauvres types agiter le mot "peuple" pour nourrir l'imposture d'idéologies nationalistes qui, paradoxalement, sont à la fois les esclavagistes des populations et les esclaves d'un libéralisme capitaliste arrivé au sommet de son totalitarisme. En France, ces jacobins, adeptes et surtout larbins d'un Etat-nation fantasmé s'imaginent que c'est la constitution qui définit ce qu'est un peuple ! 

Il y a plus de cohérence chez ces radicaux nationalistes ukrainiens cherchant à détruire depuis 8 ans le Donbass séparatiste pro-russe que chez ces nationalistes français qui agitent son combat identitaire radical en restant accrochés comme des tiques à l'identité fantasmée de leur Etat-nation absolutiste.

Car un peuple ne se définit pas dans les lois des princes, les dogmes des clercs ou les mythes des historiographes au service des deux. 

Un peuple se définit par son coin de Terre nourricière qui le façonne et qu'il façonne en retour dans une protection intuitive mutuelle. 
Un peuple se définit dans la langue des berceuses que les femmes fredonnent les soirs d'orages pour que les rêves des enfants puissent voyager vers les mythes de leurs ancêtres. 
Un peuple se définit par ses soldats qui abreuvent sa terre sacrée de leur sang protecteur. 
Un peuple se définit par la sueur du paysan et du marin labourant la terre et la mer, par celle de l'ouvrier grésillant dans le feu des forges. 
Un peuple se définit par les dieux de ses forêts et de ses rivages, par les feux et les danses les honorant dans la mémoire des millénaires. 
Un peuple se définit par ses poètes et ses penseurs libres qui chantent ses beautés et son audace. 
Un peuple se définit par ses traditions, ses rires et ses chants, ses danses et ses histoires. 

Et surtout un peuple se définit par ses valeurs et ses libertés, à la fois défendues et partagées avec les siens et avec l'étranger respectueux comme cette outre d'eau claire partagée sous le soleil brûlant du désert.

L'Irlande est cette terre celte où a été ouvert hier cette difficile et lente reconquête identitaire des peuples d'Europe et dont le Donbass a repris le glaive et le flambeau de la lutte sacrée pour la Liberté. 

Car, de l'Irlande au Donbass, seuls les peuples ont le droit souverain de se définir eux mêmes et en aucun cas leurs maîtres qui de leurs palais dorés de Londres, Kiev ou Paris veulent les soumettre à l'hégémonie de leur marchandise amorale et du libéralisme mondialiste dont ils sont devenus les larbins dans l'évolution logique du capitalisme et de l'étatisme post moderne.

Ailleurs, la Corse secoue à nouveau ses chaines, la Catalogne, l'Ecosse, le Pays Basque sont en embuscade, attendant comme beaucoup d'autres peuples que le vent du chaos souffle sur les braises de leur révolte.

Les peuples d'Europe devront bientôt choisir entre continuer à être suicidés dans les servitudes des totalitarismes idéologiques et étatiques ou suivre les exemples de l'Irlande et du Donbass et quel qu'en soit le prix à payer...

Car la Liberté elle n'a pas de prix !

Erwan Castel

16 commentaires:

  1. Non désolé. Sur ce coup-là des "états-nations" forcément esclavagistes, je ne te suis pas sur ce terrain. Que certains l'utilisent pour de mauvaises raisons est une chose, mais un "état-nation" est aussi le garant d'une certaine identité. Quid dans ce cas de ton engagement passé au sein de l'armée française ? Je fus militaire car je me faisait "une certaine idée de la France". J'ai quitté les rangs lorsque j'ai vu que Macron était mon chef. Je vomis cet état français, je ne vomis pas la nation française.
    Dans ce cas, pourquoi te bats-tu, si ce n'est pour une identité d'un peuple opprimé et qu'il soit reconnu ? Qu'est-ce que la Russie, sinon une nation ? J'ai toujours détesté le communisme, ce n'est pas pour cela que j'ai détesté un jour la Russie. La différence entre Etat et nation doit être faite. Le nationalisme peut être pris comme prétexte à n'importe quoi. Il peut aussi être celui qui fédère un peuple contre l'oppression. On n'est pas ce que l'on dit être (nationaliste, communiste etc) on est ce que l'on fait. Tu fais aussi une erreur en amalgamant libéralisme et mondialisme. Certes les élites mondialistes se gaussent à l'envi d'être librales, mais ce n'est pas cela le libéralisme. Une des aspects principaux est qu'il repose sur une concurrence libre et NON FAUSSEE, et que chacun jouit des mêmes droits et devoirs. Ce n'est pas ce que pratiquent les mondialistes, ils ne pratiquent donc pas de libéralisme. A partir du moment où il y a connivence, le libéralisme cesse d'exister. Comme je l'ai dit plus haut, On n'est pas ce que l'on dit être (ici libéral) on est ce que l'on fait. Et ils ne font pas de libéralisme.
    Un ancien artilleur

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Désolé de persister et signer mais la servitude des peuples est l'essence même de l'étatisme porté à son paroxysme dans la définition hors sol de l'Etat-Nation qui aujourd'hui est tellement momifié qu'il est devenu depuis longtemps la carpette des institutions mondialistes.
      Je fus, pour répondre à votre question, pendant 12 ans officier du renseignement aéroporté français dans la profondeur (1er RCAM puis 13e RDP) et j'ai quittél'armée avec plaisir (mais un peu tard) lorsque j'ai compris que le soldat francais ne mourrait plus pour la France mais exclusivement pour ses industriels.

      Je rejette toute définition descendante de l'identité laquelle n'est fondé que sur des fantasmes historiographiques cherchant à cacher la vacuité d'un étatisme uniquement construit et tourné vers les intérêts élitistes et dans une décadence historique progressive des compétences politiques au profit d' intérêts de plus en plus élitistes et apatrides (noblesse vers royauté, vers aristocratie, vers république, vers ploutocratie...) Je défend en revanche une subsidiarité ascendante s'appuyant sur les communautés naturelles définies par leurs environnements (lesquels ont développé des cultures, traditions et coutumes particulières) et se poursuivant dans un développements éventuels d'échelons intégrés qui n'interviennent que dans le droit de leurs fonctions (fédération, confédération...), dans une notion d'empire et en aucun cas dans un étatisme impérialiste.

      Pour ce qui est du libéralisme, alors que vous évoquez sa définition strictement économique, je mentionne pour ma part le libéralisme idéologique qui le contrôle et qui n'est qu'une déclinaison de cet universalisme que Paul de Tarse nommait l'Homme nouveau en instrumentalisant la pensée christique, que Spinoza et tant d'autres ont dénoncé jusqu'à Rousseau qui fustigeait ces "cosmopolites libéraux" qui détruisent les communautés au nom de fausses libertés individuelles.

      Ensuite j'observe une gravité historique dans l'expression de certaines idées et la France en offre un exemple frappant quand dans la décadence d'un débat politique d'abord devenu bipolaire après la première guerre mondiale, avec une droite optant pour le libéralisme économique et une gauche pour le libéralisme social. Malgré des intentions louables, ces 2 libéralismes ont dévalé la même pente vers le même océan de merde nourrissant un capitalisme qui lui aussi suit le cours logique de son vampirisme : (princes, marchands, bourgeois, industriels nationaux, colonialistes internationaux, financiers mondialistes)

      Certaines tentations systémiques ne sont que les engrenages de systèmes idéologiques incontrôlables comme le libéralisme ou l'étatisme par exemple, ce dernier ayant même fait dire à Marx suite à l'hérésie de la 2ème internationale communiste : "je ne serai jamais marxiste !"

      Pour revenir à l'Etat Nation France c'est juste une beau théâtre de marionnettes pour que ces citoyens se précipitent depuis des siècles et dans les églises et dans les usines, et dans les supermarchés et toujours sur les champs de bataille alimentant les bénéfices des banquiers.

      Désolé je dois repartir au service de mon bataillon

      Bien à vous

      Supprimer
    2. Oui je comprends ton point de vue de manière plus précise. Des divergences, des convergences... Mais je te rejoins totalement sur l idée de l élite prédatrice à son seul profit et du peuple manipulé toujours pour les mêmes peofiteurs. Ça fait très lutte des classes et un peu communiste de dire cela, mais c est la stricte vérité, et le communisme n échappé pas à cette idée de nomenklatura contrairement à sa théorie (on n est pas ce que l on dit être mais ce que l on fait...)

      Supprimer
  2. Sinon j'ai oublié l'essentiel de mon message. Merci de nous faire part via ton blog non seulement de l'avancée du conflit, mais aussi de permettre de lire un autre son de cloche que celui des occidentaux. J'admire ton courage d'être ainsi parti loin des tiens pour une noble cause, et comme tout véritable soldat, tu fais preuve d'une humilité qui se ressent au travers de tes posts. Porter une arme et pouvoir donner la mort ne donne un sentiment de puissance qu'aux vauriens. Un honnête homme se sent humble et fragile face au destin funeste qui l'attend peut-être et au droit qui lui est donné de retirer la vie, même à son pire ennemi. Soit en mille fois remercié, ton engagement est un exemple à suivre en termes de droiture, d'honnêteté et d'abnégation.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci, mais je ne fais qu'user de ma Liberté, cette grande maîtresse pour qui j'ai tout sacrifié avec conscience estimant qu'un homme ne doit pas vivre pour lui mais pour les autres

      Supprimer
  3. Mais pas la Bretagne...

    RépondreSupprimer
  4. C'est très émouvant cette vidéo sur l'Irlande, et les paroles de la chanson. Je ne connaissais pas cette chanson de cette chanteuse, qui avait un grand mal vivre dernièrement. De très belle paroles. Beaucoup de souvenirs pour moi. Cela me rappele 40 ans en arrière, quand je voyageais plein de fois en Irlande, en bus, en bateau, en avion. Que j'avais découvert par un stage de voile des Glénans, du coté de Baltimore je crois que cela s'appelait. J'ai fait en long et large, le tout ce pays, beaucoup en stop, mais aussi le tour en moto, pour oublier la France et l'ambiance ou j’étais. Belfast et ses grilles roulantes pour fermer les quartiers, Derry idem, ou j'avais du changer un câble d'embrayage de ma moto moi même sur les quais...C’était l’époque ou Bobby Sands se tuait en gréve de la faim. En stop, les gens m'en parlaient beaucoup, je lisais son nom écrit en lettres géantes sur les pentes de montagnes, depuis ma voiture. Je n'ai pas oublié. J’étais présent dans les violentes manifestations de l'Ira a Dublin, sur l’artère principale. Année 1981.. Les Irlandais m'apprirent certains détails de leur Histoire. Je voyais chanter leurs saltimbanques Irlandais dans les rues et quémander. Puis on me dit, qu'ils étaient les descendants des familles nobles Irlandaises, qui s’étaient fait expulser de leurs châteaux par les envahisseurs anglais sous le tortionnaire de l'Irlande, Cromwell, et qui ne travaillaient pas. Puis des conquêtes amoureuses. A... devinez ou ?.. Lisdoonvarna..Son camping, je connais bien..(rires)
    Bref. L'Histoire ne doit pas être oublié.

    RépondreSupprimer
  5. Saint Patrick le persecuteur chrétien..

    RépondreSupprimer
  6. Erwan, dans votre liste de ce qui fait un peuple, je suis désolé de vous le dire, mais vous en oubliez un: la religion
    Croyants ou non, les français restent de culture...chrétienne

    Sur le libéralisme, je rejoint le commentaire de l'ancien artilleur. Par exemple le figures comme Bastiat, Hayeck ou Mises ne reconnaîtraient absolument pas notre époque comme étant libérale, bien au contraire. Ils y verraient plutôt une économie étatique où règne le capitalisme de copinage.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Non je n'oublie pas l'identité religieuse puisque j'évoque "les dieux de ses forêts et de ses ". Concernant le christianisme :

      Je ne l'évoque pas car il concerne l'Occident qui est une conception idéologique et non l'Europe qui est une fermentation civilisationnelle (sur laquelle le christianisme s'est greffé en force).

      Je ne suis pas opposé à l'étranger du moment qu'il s'intègre et cela est valable pour les religions. Or les migrants "galiléens" (lire Celse) par exemple ont imposé aux européens leur religion, ses dogmatismes et détruit la base spirituelle des mythologies fondatrices de la civilisation européenne, en imposant des rites et une pensée unique exogénes.

      Cependant pour ne pas que ma position soit déformée par le manichéisme (justement imposé par le christianisme paulinien et augustinien) je reconnaît historiquement un apport culturel du christianisme en Europe (vous même défendez cette religion par cette dimension) et surtout je ne remets pas en cause la Foi populaire des croyants qui est un dynamisme universel ayant, par défaut organisé par le monopole violent des clercs, embarqué dans le véhicule chrétien pour le cheminement des âmes et la fonction sociale de toute église.

      "Les religions sont comme les rayons d'une roue en bois: elles mènent toutes au centre, mais elles ne sont pas le centre" (Ramakrishna) Malheureusement l'intolérance des clercs, dans leur collusion criminelle avec la cupidité des princesa fait basculer aussi l'Europe dans plus de 1000 ans de guerres et d'obscurantisme au nom d'une religion d'amour et à l'ombre de leurs,cathédrales de lumière.

      Autant je respecte la révolution christique, la foi des croyants et l'expression culturelle qui en découle, autant je conchie cette théologie mortifère qui dans un hérésie totale avec le Christ impose l'universalisme de sa pensée et politise son prosélytisme jusqu'à la guerre.

      De l'Homme nouveau paulinien (ep aux Galates) qui doit effacer les identités des peuples au Nouvel Ordre Mondial qui les detruit, il n'y a qu'une continuité idéologique qui en 1 peu plus d'un siècle nous a fait passer d'une théologie politique à une politique théologique usant exactement des mêmes mécanismes pour imposer sa pensée par la soumission et la destruction.

      L'Europe oui l'Occident (qui n'est qu'une errance passagère de son histoire plurimillenaire) non !

      Et si les peuples (pas les Etats qui sont co-resoonsables du chaos) ne se réveillent pas on risque de voir l`Europe disparaître avec l`effondrement inéluctable (et même salvateur) de l'Occident, tout comme la Russie a failli disparaître avec l'effondrement de L'URSS.

      Supprimer
    2. Bonjour Erwan...Je pense être totalement en accord avec toi sur le fond mais je m'écarterais sur quelques points :
      - l'écroulement des structures supra-nationales est un pré-requis aux libertés des peuples réels et cohérents (dont je partage la définition proposée) car ils sont pour le moment les grands gagnants des différentes revendications régionalistes (il suffit de voir le cas de la Catalogne, largement soutenue par l'UE)...toute division, même légitime, renforcé évidemment le pouvoir de ces entités bureaucratiques et idéologiques hors-sol...
      - le cas de la religion est complexe, les cultes et mythologies primordiales, de nature élémentaire ayant été, en de nombreux endroits, totalement abrasés par la religion importée dominante (néanmoins de longue date)...aujourd'hui, dans nos pays (au sens profond du terme) on parle la langue des colons d'hier pour adorer leurs dieux ..le problème étant qu'en de nombreux endroits aussi (tu as la chance de venir de Bretagne, une région vendue au socialisme libéral depuis longtemps mais qui a néanmoins préservé des pans entiers de sa culture véritable) ces éléments ont été broyés et ont totalement disparus ou presque.
      -sur ce point, es-tu certain que le christianisme, qui certainement le fut, soit encore aujourd'hui le véhicule des pensées dominatrices, voraces et uniformisatrices du nouvel ordre mondial ?...nos élites dégénérées actuelles, qui prônent la destruction de tout fondement naturel de l'homme pour en faire un parfait consommateur-citoyen dépourvu d'attaches et de valeurs, te semble-t-elles réellement d'inspiration et de motivation chrétienne ? Je n'en dirai pas plus ici mais permets-moi d'en douter...

      Supprimer
    3. Moi aussi je suis en accord avec votre vision
      Concernant les entités supranationales je pense que c'est encore, malgré leur soumission à la ploutocratie mondialiste, un meilleur pari que celui de rester dans ces Etats nations qui n'ont eu de cesse de soumettre les peuples à leurs élites l'UE contrôle aujourd'hui une vingtaine d'Etats dont les dirigeants ne sont plus que des incultes, des corrompus et des lâches mais disposent encore de structure étatiques coercitives (que n'a pas l'UE par exemple) Il s'agit en priorité de s'extraire de leur autorité et ensuite d'aborder la lutte contre les instances supranationales qui ne sont que des bureaucratie (à par l'OTAN) Si les peuples d'Europe s'organisent selon les principes de subsidiarité ascendante avec des vraies représentations populaires alors un bidule comme l'UE n'au pas 20 gouvernements serviles à gérer mais des millions d'Européens.

      Concernant le christianisme romain, bien sûr qu'il n'est plus un danger vu son agonie pathétique ou les seuls soubresauts sont des prises de positions populistes et mondialistes ou des remugles intégristes réactionnaires. Beaucoup de valeurs dites "chrétiennes" sont justes (et d'ailleurs reprises aux sagesses antiques) et doivent être maintenues autant faire se peut dans les mentalités. Mais lorsque je critique la pensée paulinienne c'est par rapport à son système dogmatique violent organisé autour d'une pensée unique hégémonique. Et cette pensée unique dogmatique, tel un virus s'est répandu en dehors de la sphère religieuse, a même muté jusqu'à vouloir imposer aujourd'hui une hypocrite et criminelle "religion des droits de l'Homme" ou l'universalisme a été remplacé par le mondialisme, les princes par les banquiers et les clercs par les journalistes.

      A ce titre là oui les tyrannies occidentales actuelles sont selon moi d'inspiration chrétienne, ou pour être plus précis d'inspiration MONOthéiste, non sur le fond du discours mais sur la forme pour l'imposer

      Supprimer
  7. Bonjour. Dans cette discution, j'abonde dans des critiques d'Erwan, sans refuser le Christianisme dont je viens. L'ennemi, tout comme dans la curie Romaine et ailleurs s'est infiltré pour dévoyer l'enseignement certainement modifié qué nous avons reçus. Le Christ était une incarnation,comme d'autres, de l'Absolu masculin sacrée. Car l'Absolue féminin sacré existe aussi, et je ne vais pas l'aborder. En tout cas dans les religions venant d'Abraham, seule a été valorisé l'Absolu masculin sacré. Seule la religión catholique, a sentí un moment cette abscence trop voyante et gênante du féminin. Pour cela fut introduit le culte á la Sainte Vierge en cours de route. Mais la Sainte Vierge reste hors du divin qui reste limité au Père au Fils et au Saint Esprit. La religión chrétienne officielle était dans une impasse, et heureusement nous avons reçu ce qui suit. Si vous êtes un chercheur vous pouvez prendre connnaissance d'un autre Christianisme traduit en onze langues, qui nous a été proposé en l'an 2000 par Jésus dans :
    "Les 9 lettres du Christ".
    Je les crois authentiques personnellement et cette théologie me va. (j'aime aussi les Védas, mais c'est beaucoup beaucoup plus long 😄)
    Christianisme notre millénaire et débarassé enfin du judaisme, et leur balivernes de 'peuple élu' (les feujs), dans l'univers... Ces "9 lettres du Christ, donnent d'autres explications sur Jésus, ce qui s'est passé. Effaçant des deformations, et pour notre époque. On va pas rester au temps anciens éternellement.
    Pour en prendre connnaissance, vous avez le choix 
    Soit sur le net et vous les imprimez chez vous. :   http://www.christsway.co.za/images/letters/Francais/LesLettres.pdf
     Soit acheter le livre. 
    https://fr.shopping.rakuten.com/offer/buy/177633128/les-lettres-du-christ-de-la-porte-parole.html
    J'ajoute un aparté sur la 'résurrection', tarte à la crème de la promotion chrétienne. Vous verrez dans la lettre ce qui s'est passé. Ce qui est soigneusement non dit, c'est que Jésus n'est pas le seul á être réssussité. Des Yoguis l'ont fait en tout cas. C'est ce témoignage que vous pouvez lire dans le mondialement connu livre "Autobiographie d'un Yogui", de Yogananda. Livre passionnant, ou le maître de l'auteur revient voir son disciple aprés sa mort, et répondre á ses questions sur ce qu'il vit depuis, en chair et en os.
    Salutations.

    RépondreSupprimer
  8. Certains réclament l'indépendance, notamment l'Ecosse et la Catalogne, mais en restant sous l'égide "bienveillante" de l'Union Européenne. C'est comique car c'est le contraire de l'indépendance.
    L'Europe des régions, tant prônée par les mondialistes. Et c'est exactement de qu'ils veulent faire avec la Russie.

    RépondreSupprimer
  9. Entierement d'accord avec toi Erwan! le plus grand probleme etant les peuples de France qui ont perdu toute notion d'identite et d'unite sans avoir le papa gouvernement au dessus d'eux.... il faudrait un miracle pour que cette civilisation occidentale reviennent aux fondamentaux....

    RépondreSupprimer
  10. Merci pour vos témoignages et votre engagement.

    Très belle chanson de Sinéad.

    Voici une autre chanson "rebel", cette fois-ci en gaélique.

    https://youtu.be/n730FWycrTY

    RépondreSupprimer

Les commentaires (soumis à modération) sont les bienvenus, à condition qu'ils ne soient pas diffamatoires et injurieux. Merci de respecter la charte du groupe que vous trouvez sous l'onglet "Charte" en haut et à droite. Erwan Castel.