lundi 29 décembre 2014

Quand l'ange devient succube !

La face cachée du Maïdan

Mises à jour et additifs...
1 - le 29 décembre : la réaction du Magazine "Elle"
2 - le 29 décembre : vidéo de l'intrusion à la société de Vinnitsa, commentée par Anatoly Shariy
3 - le 02 janvier : Quelques articles après le buzz
4 - le 10 mai 2015 : Arrestation de l'égérie néo-nazie 


Observation: En novembre 2014, j'ai publié sur la page du groupe FB "Soutien à la rébellion du Donbass" un premier article concernant Vita Zaveroukha, cette activiste ukrainienne, impliquée dans des assassinats et des crimes de guerre. L'administration de Facebook alors avait supprimé l'article en me sanctionnant en plus d'un interdit temporaire de publication !  

Bien sûr, refusant le diktat de la pensée unique , j'avais aussitôt récidivé en republiant la photo censurée, mais cette fois rendue anonyme de l'égérie ukrainienne en train de réaliser le salut nazi (à moins que ce soit juste "une quenelle inversée" ?) Aujourd'hui, pour ne pas être une nouvelle fois jugé diffamatoire, les illustrations de cet article, à part celles tirées du magazine féminin français "Elle", sont directement recopiées depuis la page VK de cette harpie néonazie, le lien : ICI 


Je remercie Svetlana Kissileva, Yelan Delville, Dany Kogan, Laurence Guitton, Alexandre Gontar et les autres membres du groupe qui ont réalisé le travail de collecte d'information sur le sujet.

Une descente aux enfers et sans billet de retour !

2013, Vita Zaveroukha est une jeune adolescente ukrainienne née le 9 juin 1996 à Vinnitsa et qui partage sur le réseau social VK, ses photos, ses souvenirs ses révoltes et ses passions...
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Dès ses premiers messages, cette adolescente de 18 ans, qui aime les chats, Bob Dylan, la  fête et la provocation, se déclare aussi nationaliste, russophobe, et admirative du nazi ukrainien Bandera.
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Lorsque la révolte du Maïdan éclate, Vita se radicalise et passe des paroles aux actes. Elle est soupçonnée d'avoir participé au massacre d'Odessa le 2 mai 2014 (date et lieu de la photo de droite).
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Quand les néo-nazis s'engagent dans l'opération spéciale, poussée par son fanatisme criminelle la jeune femme rejoint les"punisseurs" du Bataillon "Aïdar" sur le front du Donbass.
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Cette unité de radicaux et de criminels libérés pour la guerre est reconnue coupable par Amnesty International et l'OSCE de crimes de guerre avant d'être dissoute.

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Aujourd'hui, devenue une égérie bandériste, Vita la fanatique poursuit sa destinée meurtrière, poussée par le fanatisme de l'idéologie démentielle qu'elle a embrassé....


Que le comportement fanatique de cette jeune femme relève de la psychiatrie, personne n'en doute, mais force est de constater que ses convictions idéologiques sont aujourd'hui monnaie courante dans les rangs des bataillons spéciaux, de la Garde Nationale et jusqu'aux sièges de l'assemblée parlementaire ukrainienne et du gouvernement Porochenko. 

Mais la véritable folie c'est que cette idéologie, non seulement participe au pouvoir belliciste en Ukraine, mais, ce dernier étant soutenu par occidentaux, elle est tolérée par nos laquais médiatiques asservis qui font même l'apologie de ses nervis ! 

Néo-nazie, criminelle et glorifiée en Occident !

Accrochez vous ! car en France ce pays de Droits de l'Homme, les parangons médiatiques de la démocratie et le bien-pensance occidental, pourtant si prompts à fouiller dans les poubelles des dissidents pour lancer des croisades et anathèmes violents et intransigeants au moindre soupçon de révisionnisme, ne semblent pas ici dérangés de glorifier une criminelle de guerre reconnue et ouvertement néo nazie ! 

C'est ainsi que le magazine féminin "Elle", appartenant au groupe Lagardère, a publié dans le numéro 3594, du 14 au 20 Novembre 2014, un article (page 150) sur les volontaires féminins pro-Kiev engagées sur le front du Donbass. Toute honte bue et se faisant au passage et sans vergogne l'écho de la propagande mensongère de Washington, cet article décrit une héroïque "Vitamenka" cette volontaire loyaliste qui résiste à l'invasion de l'armée russe en Ukraine...

Vita Zaveroukha, criminelle néonazie notoire et héroïne du magazine Elle ! (notez l'erreur inversant les prénoms) 
Que les grands médias occidentaux, propriétés des capitaines d'industries, détournent leurs regards d'une réalité dénonçant la stratégie criminelle servant les ambitions militaro-industrielles de leurs maîtres, est déjà une attitude servile difficilement compatible avec l'éthique du journaliste...

... mais que ce mainstream médiatique devienne en plus un organe actif de la propagande de guerre lancée par Washington, et fasse l'apologie des nervis qui le servent et assassinent au nom d'une idéologie ouvertement nazie, est tout simplement hallucinant et abjecte !

Cela relève tout simplement de la complicité de crimes de guerre !

Car cette jeune femme ne se cache pas de soutenir les agissements des criminels de guerre mais elle est également fortement soupçonnée d'y participer directement comme à Odessa le 2 mai, où des manifestants fédéralistes ont été tués avec préméditation puis brûlés dans la maison des syndicats ou encore sur le front du Donbass avec le bataillon spécial "Aïdar" dont elle faisait partie, et qui s'est rendu coupable de nombreux assassinats et tortures avérés.

Une volonté criminelle génocidaire... 

Car ne nous leurrons pas, cette jeune ukrainienne n'est pas un "électron libre" uniquement soumis à ses pulsions criminelles, c'est un rouage entraîné d'une machine de guerre mondialiste qui, ne pouvant risquer un affrontement direct avec une Russie renaissante des ruines soviétiques, s'appuie sur des meutes d'extrémistes pour installer un chaos fatal dans les pays "non alignés" aux enjeux importants.

Elle est à la fois la victime et la coupable d'un système...

Voici quelques extraits de la diatribe des "pacifiques démocrates du Maïdan" (BHL)


 « La trêve ne fait que compliquer et prolonger la guerre. J’aime mon pays. Mais je me suis mise à détester les gens qui y vivent. Qu’on fasse le génocide de la population russe ! »                                                                                                                                                   
                                                                                     écrit Vita Zaveroukha sur sa page VK 

"Je fais la propagande du nazisme, de la terreur et du génocide. En même temps, je ne suis pas quelqu'un de mauvais. 

Tout se justifie par "La guerre au nom de la paix" Si je partais avant de terminer l'affaire, uniquement dans ce cas mes actions ne pourront pas être excusées (justifiées). 

On ne juge pas les vainqueurs"



Même pendant ses permissions, Vita Zaveroukha reste une enragée  !
"Vitamenko" avec un groupe d'anciens du bataillon 
Aïdar investit les bureaux d'une société russe le 25 
décembre 2014 à Vinnitsa, sa ville de naissance.

"Vitamenka" n'est malheureusement pas un cas isolé, et ils sont des centaines comme elle à laisser derrière leurs errances politico-militaires des traînées de sang et de larmes.
Qu'ils soient wahhabites ou bandéristes par exemple, ces "idiots utiles" sont protégés et lâchés par la Finance Internationale sur ses proies, comme des chiens enragés pendant une chasse à courre.. 

Les néo-conservateurs étasuniens, et leurs suppôts de l'Union Européenne sont prêts à tout y compris aux pires infamies, pour s'emparer de l'Ukraine; car au milieu de leur naufrage économique et en face à la montée de l'Eurasie, ce pivot stratégique représente une bouée de sauvetage vitale pour le Nouvel Ordre Mondial abscons et agonisant.

La Russie est le dernier rempart capable de supporter l'agression mondialiste et de résister à son esclavagisme.. Et même de simples nervis l'ont compris, comme cette jeune ukrainienne qui (tout en défendant des frontières artificielles créées par Staline) commente la guerre dans le Donbass en affirme : 

Extrait de l'article du magazine "Elle", page 157 
Voilà pourquoi en Ukraine ils ont libérés des chiens de guerre comme "cette petite blonde de 18 ans qui parle très doucement", protégés par nos ploutocrates immoraux et leurs collabos médiatiques...

Ces meutes sanguinaires sont appelés à comparaître devant les Dieux
Occupons nous donc du rendez-vous ! 
Et le plus tôt sera le mieux...
Erwan Castel

MISE A JOUR  1 -  29 décembre 2014


La réaction hypocrite des collabos du magazine "Elle" 

Devant la réaction imparable des réseaux sociaux dénonçant avec indignation l'apologie de la néo-nazie Vita Zaveroukha qui avait été publiée dans son numéro de novembre, la rédaction du magazine "Elle" s'est fendue d'un communiqué où elle se déclare "choquée" par la réalité du "profil idéologique" de la jeune ukrainienne !



Ce communiqué d'apparence énergique et spontanée est en réalité l'illustration soignée d'une lâche et perfide collaboration à une propagande de guerre, dont ici le principe de l'auto-victimisation est appliqué avec soin et pour une fois professionnalisme ! 

Nous allons voir rapidement comment la rédaction procède pour crever l’abcès sans être éclaboussé, par une défense coutumière au lâche qui est "pris la main dans le sac" et essaye pitoyablement de se justifier et surtout dans le cas présent de détourner le "buzz" médiatique à son profit en cherchant :

1- A se victimiser devant la réalité
2- A minimiser la faute incriminée
3- A détourner l'attention du public

SE VICTIMISER

En effet, ce qu'il ressort prioritairement dans ce communiqué, c'est que finalement, c'est le magazine "Elle", "choqué" de s'être fait duper, qui est une victime ! et en plus dégagé de toute responsabilité, car "aucun élément, aucun signe extérieur, aucune parole ("dans l'interview" est-il précisé) ne laissaient comprendre que la jeune femme était néo-nazie" 

Donc, dans cette histoire, ce sont les journalistes qui sont les plus à plaindre, et surtout à lire !

MINIMISER LA FAUTE 

D'abord, les parcours de ces combattantes ukrainiennes sont "très divers" et qui plus est leur bataillon "Aïdar" est une unité dont les membres "sont d'origines et d'obédiences politiques très diverses" mais qui est digne de confiance, car il est "rattaché au Ministère de l'intérieur"

Donc, c'est la faute à "pas de chance" si les pauvres journalistes sont tombés sur cette fille là !

DÉTOURNER L'ATTENTION

Dans sa plaidoirie pitoyable, la rédaction de garde bien d'évoquer les crimes auxquels cette jeune ukrainienne reconnait elle-même avoir était présente. Seules ses idées pro-nazies sont mentionnées, et tout juste invoque t-on ce lieu-commun qui "condamne, bien entendu toute idéologie prônant la xénophobie, l'antisémitisme ou l'apologie du nazisme" (Tiens ça me rappelle la résolution russe présentée à l'ONU et refusée entre autres démocrates par la France !)

Donc, même choquantes, ce ne sont que les paroles d'une gamine sur des réseaux sociaux !

En conclusion, selon le magazine, "il n'y a pas de quoi casser 3 pattes à 1 canard" !


"CIRCULEZ IL N'Y A RIEN A VOIR !"

La rédaction de "Elle", dans ce communiqué (comme dans l'article d'ailleurs), prend vraiment ses lecteurs pour des cons, et il ressort de cet accroc réalisé dans le voile du mensonge que :

-Soit les journalistes du magazine sont des bouffons, ayant de la merde dans les yeux et qui ne vérifient ni ne contrôlent  l'information et ne s'intéressent pas aux personnes rencontrées, 
- Soit ils sont les perroquets d'une propagande diffusées par l'AFP sur leurs prompteurs, et leurs comptes en banque, dont les dirigeants se retrouvent dans les mêmes réseaux financiers qui débarquent en Ukraine.

Dans le cas présent, j'observe que le cumul est ici possible et même qu'il doit être recommandé pour faire carrière dans la "merdiacratie" occidentale.

Quid du massacre d'Odessa auquel a participé l'ukrainienne?
Quid des déclarations des officiers du bataillon Aïdar ?
Quid des symboles nazis sur les drapeaux et uniformes ?
Quid des crimes reconnus officiellement de ses combattants ? 
Quid des mensonges répétés concernant l'invasion russe ?

A pardon !, j'avais oublié qu'il ne s'agissait que d'un "communiqué", et que, ne pouvant tout évoquer il fallait faire des choix de rédaction obéissante ! 
Finalement il n'y a rien d'étonnant de rencontrer dans un magazine féminin autant de "faux culs" * !

Erwan Castel

* autrefois rembourrage que les femmes portaient sous leur robe et aujourd'hui vil hypocrite !
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MISE A JOUR  2 -  29 décembre 2014

La vidéo de l'intrusion dans la société prétendument russe de Vinnitsa


MISE A JOUR  2 -  10 mai 2015

Même à Kiev cette égérie néo-nazie des bataillons spéciaux ne peut s’empêcher d'exprimer sa haine  et sa violence psychotique ...

l'article ici : Arrêtée pour meurtre

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Les sources de l'article

- Page VK de l'intéressée, le lien ici : Vita Zaveroukha
- Numéro de Novembre du magazine, ici : "Elle 3594"
- Page Facebook de l'intéressée : ICI

Quelque uns des autres articles et commentaires partagés sur les réseaux sociaux
- Site "TVVEZDA", le lien : ICI
- Site "JPGAZETA", le lien : ICI 
- Site "I-VIN INFO", le lien : ICI
- Site "LES CRISES.FR", sur la 2ème combattante interviewée, le lien : ICI 
- Site "LES CRISES.FR", 3ème : Excuser l'inexcusable, le lien : ICI 

Concernant les mises à jour 
- Site "OZAP", le lien : ICI concernant la réaction du magazine Elle
- Vidéo "YOUTUBE" : ICI concernant l''intrusion dans la société russe de Vinnitsa

Après le "buzz" médiatique, quelques uns des autres articles apparus sur le net 
- Site "CITIZEN BREIZH", le lien ; ICI
- Site "L'EXPRESS", le lien ; ICI
- Site "LES CRISES.FR", le lien : ICI
- Site "WIKISTRIKE", le lien : ICI 
- Site "LES CHRONIQUES DE ROSCHARC", le lien : ICI
Etc....

Au moins les "journalopes" de notre "merdiacratie" occidentale ne pourront plus dire qu'il n'y a pas de nazis dans les forces ukrainiennes soutenues par l'Union Européenne !





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2 commentaires:

  1. Merci pour ce travail , j'apporte ma petite contribution.

    https://www.youtube.com/watch?v=QQdmlJvtf8w&feature=youtu.be

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  2. Remarquable travail que ne font pas les journalistes officiels aux ordres.

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Les commentaires (soumis à modération) sont les bienvenus, à condition qu'ils ne soient pas diffamatoires et injurieux. Merci de respecter la charte du groupe que vous trouvez sous l'onglet "Charte" en haut et à droite. Erwan Castel.